Lors d'une épidémie de variole sévissant dans certaines parties de notre pays, mon fils fut atteint de cette maladie. Un médecin, ami de la famille, l'examina et déclara qu'il s'agissait d'un très mauvais cas de variole. Tout son corps en portait témoignage. L'ami médecin qui devait, de par la loi sur les maladies contagieuses, déclarer ce cas aux autorités responsables, ne prescrivit pas d'ordonnance et ne lui donna pas d'aide médicale.
Cela se passait alors que notre fils fréquentait une église d'une autre confession, et que le reste de notre famille, mon mari, ma fille et moi-même étions déjà étudiants de la Science Chrétienne. Il ne semblait pas du tout intéressé par la Science, tout en respectant notre position en la matière. Cependant, lorsque nous lui avons demandé s'il désirait avoir l'aide d'un médecin, il répondit, à notre grand étonnement, qu'il préférait être traité en Science Chrétienne, et il me demanda de l'aider en priant, ce que j'acceptai de faire.
Notre fils devait photographier, treize jours plus tard, le mariage d'un ami. Quand il se vit dans un miroir, il douta d'être à même d'assister au mariage et pensa qu'il devrait annuler son engagement. Mais je le convainquis que la Science Chrétienne guérit à la fois rapidement et complètement et qu'il n'y a rien à craindre puisque Dieu, le bien, est toujours présent. Dans Miscellaneous Writings, Mrs. Eddy dit (p. 101): « Celui qui se tourne vers le corps pour y trouver une évidence fonde ses conclusions sur la mortalité, sur l'imperfection; mais la Science dit à l'homme: “Dieu a tout pouvoir”. »
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