J'ai souffert pendant plusieurs années d'une néphrite et, en plus, par la suite, d'une douloureuse inflammation de la vessie. Je fus admise dans différents hôpitaux; j'allais mieux mais au bout d'un certain temps, la souffrance devint si intense que même des injections de morphine n'en venaient pas à bout. Je perdis l'appétit en raison de toutes les poudres et les comprimés que je prenais et je pouvais à peine manger quoi que ce soit, si bien qu'on s'attendait à ce que je meure.
A l'époque je connaissais déjà la Science Chrétienne, mais je ne la comprenais pas bien. Ma sœur, qui connaissait mieux ses enseignements, insista pour que je me fasse guérir par la Science Chrétienne. J'en étais également arrivée au point où je n'avais plus guère confiance ni dans le médecin ni dans les remèdes matériels et j'étais prête à faire confiance à Dieu.
Je fis part de cette décision à mon mari qui ne connaissait pas la Science. Il en fut surpris et lors de la prochaine visite du médecin, il lui dit: « Ma femme est devenue folle. Ramenez-la donc à la raison. Elle veut recourir à la Science Chrétienne et se faire traiter par un praticien. »
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !