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Depuis plus de vingt ans, la Science Chrétienne...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de février 1975


Depuis plus de vingt ans, la Science Chrétienne est pour moi un mode de vie. Il m’a valu bon nombre de guérisons physiques magnifiques et la solution de problèmes financiers. Chaque problème m’a mise au défi d’étudier et de comprendre mieux la relation qui unit l’homme à Dieu.

J’avais depuis très longtemps une petite excroissance au visage; il y a quelques années, elle commença à se développer, augmenta de volume et devint bien vilaine. J’ai constamment prié pour la guérison de cette chose, mais elle ne disparaissait pas. J’ai travaillé à l’aide de ce passage de la Bible (Hébr. 4:12): « Car la parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu’à partager âme et esprit, jointures et moelles; elle juge les sentiments et les pensées du cœur. »

Jusque-là, je n’avais jamais eu de problème physique si visible. Une de mes collègues, qui n’était pas Scientiste Chrétienne, s’en montrait très inquiète. Chaque matin, il me fallait subir le récit d’histoires effrayantes dont ses amies, avec de pareilles excroissances, avaient fait l’expérience. Elle insista pour que je consulte un médecin et me fasse opérer. Elle offrit même de téléphoner au docteur pour prendre rendez-vous. Toute son attitude m’irritait beaucoup et je commençais à me sentir très gênée à cause de cette grosseur. Je fis de mon mieux pour éviter les gens, tout spécialement ceux que je croyais susceptibles de faire des commentaires.

Je ne souffris à aucun moment de cette excroissance, alors qu’elle était terriblement apparente. Quelques mois plus tard, je demandai de l’aide à un praticien de la Science Chrétienne, incapable de me concentrer sur mon travail, en raison des commentaires des collègues.

Après avoir été traitée en Science pendant quelques jours, un collègue me demanda ce que j’avais fait pour soigner cette excroissance, étant donné qu’elle changeait d’aspect. Ne m’en étant pas rendu compte, je lui ai expliqué que je me faisais traiter en Science Chrétienne, donc par la prière simplement. J’en parlai au praticien; c’était « l’éclat de la Vérité », dit-il, qui avait opéré ce changement. Il se référa à cette déclaration de Mrs. Eddy (Science et Santé, p. 296): « Les soi-disant plaisirs et douleurs de la matière périssent, et il faut qu’ils disparaissent dans l’éclat de la Vérité, du sens spirituel et de la réalité de l’être. La croyance mortelle doit perdre toute satisfaction dans l’erreur et le péché afin de s’en défaire. »

Un soir, lors d’une réunion de témoignages du mercredi, un des assistants expliqua qu’il avait été guéri d’une excroissance à la tête. Il dit avoir travaillé sur l’idée que l’Amour pouvait dissoudre « le diamant de l’erreur ». La lecture de tout ce passage dans Science et Santé (p. 242) m’a beaucoup encouragée: « En obéissant patiemment à un Dieu patient, travaillons à dissoudre avec le dissolvant universel de l’Amour le diamant de l’erreur, — la propre volonté, la propre justification et l’amour de soi, — ce diamant de l’erreur qui lutte contre la spiritualité et qui est la loi du péché et de la mort. »

Après cela, je me sentis mieux à même d’effacer cette excroissance de ma pensée. Je recouvris la grosseur d’un pansement adhésif, pendant plusieurs mois, jusqu’au moment où littéralement elle se détacha, ne laissant aucune cicatrice. La guérison était si parfaite que je ne pouvais même plus dire exactement où s’était trouvée cette grosseur.

J’ai beaucoup retiré de cette expérience. J’ai dû prendre position, en ce sens que Dieu guérit et que toutes choses sont possibles grâce à la prière. Je dus apprendre que mes collègues avaient essayé, à leur manière, de m’être utiles et qu’en conséquence je n’avais pas à me vexer du fait qu’ils aient suggéré de recourir à la médecine.

Je fus absolument stupéfaite quand je me rendis au bureau sans pansement et qu’il se passa plus de deux semaines avant que quelqu’un s’aperçût de la guérison; cela, en dépit de tout l’intérêt bienveillant que l’on m’avait témoigné. Ce fut alors l’occasion pour moi de parler à ces gens de notre méthode de guérison et de leur dire de quelle manière cette excroissance avait été supprimée grâce à la prière. Même celui qui s’est montré le plus critique reconnut que la Science Chrétienne guérit réellement.

Je ne pourrai jamais assez exprimer ma gratitude pour les guérisons obtenues grâce à l’étude et à la prière. Je suis également reconnaissante à L’Église Mère, qui étend son œuvre par-delà les mers, aux fins de partager ce don de guérison avec tous ceux qui veulent l’accepter.


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