Je désire exprimer ma gratitude pour plusieurs guérisons que j’ai eues grâce à la Science Chrétienne.
Pendant vingt ans, j’avais souffert d’une maladie de la hanche. Les médecins ne pouvaient pas décider s’il s’agissait d’un lombago ou d’une sciatique. Parce que je souffrais tellement, je devais garder le lit régulièrement deux fois par an pendant plusieurs mois. La douleur alors cessait, mais la jambe restait raide et froide et je devais la frotter et la masser pour la faire revivre. C’est à une époque où je passais par de grandes souffrances que la Science Chrétienne me fut présentée.
Une des Leçons-Sermons dans le Livret Trimestriel de la Science Chrétienne contenait le passage suivant de la Bible: « La trente-neuvième année de son règne, Asa eut les pieds malades au point d’éprouver de grandes souffrances; même pendant sa maladie, il ne chercha pas l’Éternel, mais il consulta les médecins » (II Chron. 16:12). Après l’avoir lu, je me sentis inspirée. Je me demandais bien comment j’avais pu chercher de l’aide dans la médecine matérielle, alors que j’avais le Dieu tout-puissant comme médecin. Je décidai sur-le-champ de ne pas suivre l’exemple d’Asa, mais de m’appuyer entièrement sur Dieu et de placer toute ma confiance en Lui. Et le Seigneur me vint en aide. Pendant trois semaines, la lutte sembla dure, et il y eut des moments de souffrance physique accablante, et des moments où j’étais tentée de croire que ma compréhension était insuffisante ou se refusait à soulever le voile épais qui m’environnait. Cependant, je tins ferme; je m’attendis à Dieu et n’espérai qu’en Lui. Et Dieu me répondit. Je fus complètement guérie et d’une manière permanente. A cette même époque, ma petite fille fut guérie instantanément d’une affection des reins dont elle avait souffert depuis cinq ans. La guérison eut lieu quand je me rendis compte que c’est aux craintes et aux croyances des parents que la maladie d’un enfant est imputable. Je jetai tous les remèdes matériels et je permis à ma fille de manger tout ce qu’elle voulait. Plus aucun symptôme de la maladie ne reparut. Cette guérison, qui eut lieu il y a trente ans, a été permanente.
J’ai été aussi guérie de maux de dents, de douleurs rhumatismales et de constipation qui durait depuis vingt ans.
Deux semaines avant son accouchement, une de mes domestiques tomba dans les escaliers. Je la mis au lit et restai près d’elle toute la nuit, travaillant, priant scientifiquement, reconnaissant que le contrôle de Dieu est suprême. Le lendemain matin elle se leva, tout à fait bien.
L’enfant d’une autre servante souffrait d’une pneumonie aiguë. Les docteurs décidèrent qu’une transfusion de sang était nécessaire pour la sauver, mais leur ultime verdict ne laissait plus aucun espoir et, selon eux, il était trop tard. La mère emmena l’enfant à la maison; mais comme elle avait quelque connaissance de la Science Chrétienne, elle me demanda un traitement. Très peu de temps après, l’enfant fut rétabli.
Quand mon mari et moi commençâmes l’étude de la Science Chrétienne, nous étions dans le besoin et très à court d’argent pour payer notre maison. Nous trouvâmes une solution à tous nos problèmes et il fut pourvu à tous nos besoins en comprenant que « l’Éternel est mon berger: je ne manquerai de rien » (Ps. 23:1).
Pendant la guerre, nous restâmes calmes sous de sévères bombardements. Plusieurs obus tombèrent sur notre maison, ne faisant aucun mal à qui que ce soit, bien qu’il y eût plus de dix personnes dans la maison à l’époque. Je remercie Dieu qu’à la fin de la guerre nous ayons pu retourner chez nous et que notre maison, bien que partiellement détruite, ait pu être rebâtie. Nous avons ressenti l’aide de Dieu dans cette restauration de notre maison.
Je remercie Dieu de savoir qu’il n’y a pas de mort et que mon mari, bien qu’il ait passé, continue à vivre.
J’eus une autre preuve de la toute-présence de Dieu un jour que je passais sur des planches mal ajustées. Une de ces planches se déplaça et je tombai, me blessant si fort à la jambe que je faillis m’évanouir. Ma fille me sortit de là et m’aida à m’étendre sur un divan. La douleur était intense. Au bout de quelque temps je commençai à devenir consciente de la présence et de l’omnipotence de Dieu et puis je m’endormis. J’avais la jambe très enflée et toute bleue. En me réveillant le lendemain, il n’y avait plus de trace d’enflure. Le pied avait repris sa couleur normale. Il ne restait seulement qu’une égratignure.
J’ai une profonde reconnaissance envers Dieu pour toutes ces guérisons et bien d’autres encore, pour Christ Jésus, notre Guide, et pour Mary Baker Eddy qui nous a donné la Science Chrétienne.
Lomianki, près Varsovie, Pologne
