Un père normal aime son enfant. Cette affection peut s'exprimer, à l'occasion, par un cadeau ou par une câlinerie. Il s'agit là, simplement, de manifestations spontanées et supplémentaires d'amour. Mais, fondamentalement, l'amour d'un père se manifeste par les longues heures de travail qu'il passe régulièrement à son bureau ou à l'usine, afin de donner à sa famille le logement, la nourriture, l'habillement et l'éducation nécessaires. Ce qui compte réellement c'est cette affection solide, persévérante, journalière. Ceci est un engagement en profondeur.
Christ Jésus aimait l'humanité. Dans quelque endroit qu'il fût, les gens ressentaient son amour qui guérissait. Les enfants, les lépreux, les péagers, les femmes de mauvaise vie, les boiteux, les aveugles, les veufs et les veuves, tous ressentaient sa compassion. Ils savaient que Christ Jésus les aimait parce qu'il les guérissait. Jésus pouvait guérir grâce à sa réalisation consistante, persévérante, journalière — par la prière — de la paternité de Dieu et de la perfection de l'homme, Son enfant.
Un disciple du Maître au dix-neuvième siècle, Mary Baker Eddy, découvrit la Science sur laquelle repose le pouvoir curatif de Christ Jésus, et l'appela Christian ScienceChristian Science: Prononcer 'kristienn 'saïennce.. Elle fonda, ensuite, le mouvement de la Science Chrétienne. Elle écrit dans Science et Santé avec la Clef des Écritures: « Jésus voyait dans la Science l'homme parfait, qui lui apparaissait là où l'homme mortel pécheur apparaît aux mortels. Dans cet homme parfait le Sauveur voyait la ressemblance même de Dieu, et cette vue correcte de l'homme guérissait les malades. » Science et Santé, p. 476;
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !