Il y a longtemps que ce témoignage de l'efficacité de la Science Chrétienne est dû. La Science Chrétienne me fut d'abord présentée lorsque j'avais une vingtaine d'années. Je ne savais que très peu de chose au sujet de Dieu, n'ayant été qu'une ou deux fois à l'école du dimanche lorsque j'étais enfant. Ma mère m'avait appris qu'il existait un Dieu qu'il fallait révérer, mais au cours de mes années à l'université, j'avais été influencée par l'agnosticisme et je n'étais plus très sûre de ce que je croyais.
Puis je tombai malade soudainement, et le médecin m'informa que j'avais un kyste de l'ovaire, qui, à moins d'être enlevé, risquait de me causer de graves ennuis; il pouvait même devenir cancéreux.
Une amie qui jouait dans une pièce que j'avais écrite étudiait la Science Chrétienne. Elle insista pour me conduire chez une praticienne. Celle-ci m'accueillit aimablement malgré mon amertume me mes doutes. Finalement, incapable de percer l'obscurité de mon incrédulité, elle me dit: « Vous êtes fâchée contre le monde, le rendant responsable de vos imperfections. A pensée ulcérée, corps malade. »
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