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J'entendis parler pour la première fois de...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de novembre 1968


J'entendis parler pour la première fois de la Science Chrétienne il y a plus de trente ans par une tante et un oncle que j'aime beaucoup et qui étudiaient cette Science avec sincérité.

Science et Santé fut le premier livre sur la Science Chrétienne que je lus. Je ne compris que très peu ce que je lus, mais les déclarations simples et logiques de la vérité contenues dans ce livre m'impressionnèrent beaucoup. Cette lecture m'absorba à un tel point que je ne pouvais m'arrêter un seul instant. On me donna également quelques périodiques de la Science Chrétienne, que je lus attentivement. J'acquis une meilleure compréhension de cette religion, nouvelle pour moi. On me montra comment étudier chaque semaine la Leçon-Sermon indiquée dans le Livret Trimestriel de la Science Chrétienne.

Je me mis à assister régulièrement aux services du dimanche et aux réunions de témoignages du mercredi d'une Société de la Science Chrétienne. Le désir de devenir membre de cette société me vint plus tard, après qu'on m'eut fait remarquer que je ne pouvais le faire qu'à condition de cesser de fumer. Je suis reconnaissant de pouvoir dire que grâce à l'étude continue, cette mauvaise habitude me quitta. Je devins alors membre de la société.

Comme première démonstration des vérités que j'avais étudiées, je trouvai un emploi convenable et permanent. Un praticien me conseilla d'étudier, avec les concordances, tous les passages de Science et Santé et des autres œuvres de Mrs. Eddy, concernant le « travail » et les « ressources ». Je fus grandement aidé lorsqu'on m'expliqua que le seul emploi véritable de l'homme est de refléter et d'exprimer Dieu par des qualités telles que l'intelligence, l'obéissance, la gentillesse, l'humilité, la douceur, l'intégrité, et ainsi de suite.

En très peu de temps, on m'offrit deux situations, et après avoir prié notre Père-Mère Dieu de me guider, j'acceptai un poste dans une organisation du gouvernement dans une autre ville. Cela me procura un emploi permanent et m'aida beaucoup financièrement.

Cependant, au cours des dix années qui suivirent, je m'éloignai peu à peu de la Science et négligeai d'étudier régulièrement chaque jour la leçon. L'habitude de fumer me reprit à un tel point qu'il m'était impossible de rester un instant sans fumer. Au bout de ces dix années, pendant lesquelles je m'étais également marié, je fus retransféré à Calcutta, où je pouvais assister aux services de l'église. Je me rendis à une conférence sur la Science Chrétienne, ce qui renouvela mon intérêt pour cette Science.

Comme je fumais toujours, je ne pouvais pas devenir membre de la société locale. Bien que j'eusse fait un travail métaphysique spécial à ce sujet, je continuais à fumer. Je demandai alors de l'aide à un praticien et je suis reconnaissant de pouvoir dire que vingtquatre heures après, je pus dire à ma femme que je ne toucherais plus une cigarette. Je suis reconnaissant de pouvoir dire que depuis ce jour, je n'ai plus jamais eu envie de fumer, et il y a de cela onze ans. Peu après, je présentai ma demande pour devenir membre de la société, où je me suis rendu utile dans diverses activités, y compris celle de Premier Lecteur.

Outre les bienfaits mentionnés ci-dessus, j'ai été guéri de rhumes, d'une foulure à la cheville et du chagrin, lors du départ de mes parents, à un mois d'intervalle l'un de l'autre. Il y a quelques années, je fus guéri d'un panaris très douloureux alors que j'étudiais la leçon de la semaine, dont le sujet était « La matière ». Elle comprenait notamment ce passage: « Ce qu'on nomme matière est inconnu à l'Esprit, qui renferme en lui-même toute substance et qui est la Vie éternelle » (Science et Santé, p. 469). Je vis immédiatement que l'homme, l'image et la ressemblance de Dieu, ne peut être sujet à l'erreur d'aucune sorte. Lorsque j'eus fini d'étudier la leçon ce matin-là, le panaris s'était ouvert de lui-même. Pendant toute cette expérience, je n'eus recours à aucun remède matériel, bien que de nombreux remèdes m'aient été suggérés par des amis. Je les rassurais, leur disant que je donnais à cet état les meilleurs soins possible. En deux jours, toute trace de panaris avait disparu et mon doigt était redevenu normal.

Je suis véritablement et humblement reconnaissant d'étre membre de L'Eglise Mère, envers nos praticiens, toujours prêts à nous aider et à nous guider quand l'occasion se présente, pour nos périodiques, avec leurs messages de vérité et de réconfort, pour tout le bien qui m'a été donné grâce à l'étude et la mise en pratique de la Science Chrétienne, pour un merveilleux foyer et une femme aimante et pleine de compréhension qui, bien que n'étudiant pas la Science Chrétienne, comprend et reconnaît le bien qui nous a été manifesté au cours des années, grâce à la Science. Je suis réellement reconnaissant d'être Scientiste Chrétien.


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