Quand j'étais jeune et que je vivais en Nouvelle-Zélande,...

Quand j'étais jeune et que je vivais en Nouvelle-Zélande, la vie que je menais à la ville ne me satisfaisait plus, je m'engageai donc comme berger. Cette occupation me plaisait beaucoup, pourtant le désir de continuer ma carrière d'artiste se fit si impérieux que je retournai à la ville, et peu après la Science Chrétienne me fut présentée. Imaginez ma reconnaissance lorsque je lus les premières lignes du livre de texte, Science et Santé avec la Clef des Écritures par Mary Baker Eddy (Préf., p. vii): « Le berger vigilant voit les premières faibles lueurs de l'aube, avant que ne paraisse toute la splendeur d'un jour nouveau. » Ce jour-là fut riche en bénédictions, et mes progrès furent suivis par la réforme et la guérison.

J'aimerais tout particulièrement exprimer ma reconnaissance pour avoir été guéri de l'envie de fumer. Cette habitude désagréable persista pendant plusieurs années après que j'eusse commencé l'étude de la Science, mais je crois que les efforts sincères que je fis pour surmonter cette habitude, ont contribué à sa solution finale qui s'est opérée sans effort.

Alors que ma femme attendait son premier enfant, il me vint à l'esprit que je ne devrais plus continuer à fumer dans notre maison. Sans plus penser à cela, j'oubliai d'acheter des cigarettes pour le week-end, comme j'en avais l'habitude, et dès lors je n'eus plus jamais le désir de fumer. Environ une semaine plus tard, mon attention fut attirée par ces paroles de Mrs. Eddy (ibid., p. 1): « La prière qui réforme les pécheurs et guérit les malades est une foi absolue dans le fait que tout est possible à Dieu, — une compréhension spirituelle de Dieu, un amour détaché de soi-même. » Je me rappelai avec reconnaissance que j'avais souvent étudié ce passage pour résoudre mes problèmes, et je priai Dieu de m'accorder ces qualités de foi, de compréhension spirituelle et d'amour détaché de soi-même.