Je suis reconnaissante de partager des preuves de la sollicitude de Dieu, grâce aux périodiques de la Science Chrétienne. La Science a été le seul Consolateur et docteur dans ma vie et je peux rendre témoignage de sa protection effective. La pensée de médicaments pour m'aider ne m'est jamais venue lorsque j'étais enfant, je fus guérie de varicelle, de rougeole, de coqueluche et d'autres maladies infantiles. Maintenant quand je travaille et prie pour mes propres enfants, ces expériences passées m'aident à réaliser qu'ils ne dépendent pas non plus de méthodes matérielles. De bonne volonté ils acceptent Dieu comme leur guérisseur et ma seule responsabilité repose sur le fait de savoir « d'où me viendra le secours » (Ps. 121:1).
Parce que nous appliquons la Science Chrétienne, la naissance de nos trois enfants, dans notre foyer, fut une expérience harmonieuse. Quelques jours avant celle du cadet le docteur avait dit que le bébé était dans une position qui nécessiterait une opération et qu'il serait bien préférable que j'aille à l'hôpital. Silencieusement je refusai la croyance qu'une idée du Principe puisse être en dehors de sa place.
Ce soir-là la praticienne qui m'aidait me rappela ce que Mrs. Eddy nous déclare dans le livre de texte de la Science Chrétienne (Science et Santé, p. 200): « La grande vérité de la Science de l'être, savoir, que l'homme réel était parfait, qu'il l'est, et le sera toujours, est incontestable; car si l'homme est l'image, le reflet de Dieu, il n'est ni inverti ni subverti, mais droit et semblable à Dieu. » Je compris que ce qui devait être inverti était ma conception du corps. Je remplaçai tout faux sens de corps matériel, ennuyeux, par la vérité: la seule identité ou corps de l'homme, en tant que reflet de Dieu.
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