Trois docteurs me dirent il y a plus de vingt-cinq ans que j'avais un cancer incurable, et que je vivrais encore deux années au maximum. Une connaissance me recommanda la Science Chrétienne; elle écrivit sur un papier le nom d'un praticien et le numéro de son téléphone. Pour ne pas la blesser j'acceptai ce qu'elle m'offrait, sans lui dire que j'étais alors très opposée à ce que je croyais être la Science Chrétienne.
Quelques semaines plus tard, je résolus de téléphoner au praticien et de lui demander une entrevue. Je lui dis que je ne connaissais pas la Science Chrétienne et que ma foi à cet égard était nulle, mais qu'étant désespérée, je serais d'accord qu'il m'aidât si la chose était possible malgré mon attitude à l'égard de la Science. Il me répondit avec une bonté ineffable, et j'eus l'impression que je m'étais adressée à la bonne place. Il me traita en Science pendant quinze jours, et je fus guérie. C'était vraiment la preuve que « la détresse de l'homme permet à Dieu d'intervenir. »
Six mois plus tard, par curiosité, j'allai chez l'un des docteurs qui m'avaient condamnée. Il m'examina et dit que j'étais complètement guérie, et qu'il ne m'était pas même resté de cicatrice.
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