Voici plus de trente ans que je demandai à l'un de mes oncles de me conduire à l'École du dimanche Scientiste Chrétienne. Quoique toute jeune, j'étais très pieuse et j'aimais la manière dont il parlait de Dieu. Depuis lors la Science Chrétienne m'a fait beaucoup de bien et j'en suis reconnaissante. En appliquant cette vérité démontrable, nous avons eu de nombreuses guérisons. J'avais au pied une éruption infectieuse qui fut guérie sans traitement spécial pendant que j'écoutais une conférence Scientiste Chrétienne. Le mal detait de deux jours et avait pris une forme extrêmement pénible. Je m'en alarmai parce qu'un autre membre de la famille avait eu ce même genre d'éruption et s'était fait traiter par la médecine des années de suite mais sans succès. Pendant la conférence le mal fut si bien chassé de ma conscience que plusieurs jours s'écoulèrent sans que la pensée m'en revienne; alors je me rendis compte que j'étais guérie. Voilà seize ans de cela et je n'ai jamais eu de rechute.
En Science Chrétienne, la chirurgie mentale est possible; nous en eûmes un exemple qui nous rendit très heureux. A l'âge de six ans notre fillette eut dans une de ses narines une vilaine tumeur que chacun remarquait. Nous nous attachâmes à cette affirmation qui se trouve à la page 463 de Science et Santé, par Mrs. Eddy: « Une idée spirituelle ne renferme pas un seul élément d'erreur, et cette vérité enlève convenablement tout ce qui est nuisible. » La tumeur se détacha en partie, mais la guérison n'était pas complète; aussi demandaije l'aide d'une praticienne. Le lendemain matin tout avait disparu. Là où avait été la tumeur, on voyait une petite entaille comme celle qu'aurait fait un instrument affilé. Cette cicatrice ne tarda pas à disparaître. Nous avions donc une belle preuve de la toutepuissance divine, et nous y pensons encore avec joie.
Une laryngite, un lumbago, une fatigue extrême ont été guéris chez moi par la Science Chrétienne, ainsi que des maux sans gravité. La Science m'a soutenue dans l'affliction et m'a prouvé positivement que « chaque degré successif d'expérience développe des vues nouvelles de bonté et d'amour divins » (ibid., p. 66). — Pittsburgh (Pensylvanie), États-Unis.
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