Avant que Jésus ait quitté notre terre par la victoire spirituelle que l'on a nommée depuis l'ascension, ses contemporains avaient reconnu les guérisons qu'il accomplissait. Cela se remarque spécialement vers la fin de son ministère. Lorsqu'il vint à Béthanie et qu'on lui servit un souper dans la maison de Lazare que le Maître avait précédemment ressuscité des morts, beaucoup de Juifs s'y rendirent pour voir Lazare. Le lendemain, comme Jésus partait pour Jérusalem, le peuple salua en l'appelant le Roi d'Israël; beaucoup allèrent audevant de lui, prirent des branches de palmiers et en jonchèrent la route. C'était là témoigner d'une manière frappante qu'ils reconnaissaient l'œuvre de Jésus!
Certains Grecs venus à Jérusalem pour adorer pendant la fête désirèrent le voir eux aussi. Sa mission messianique était donc généralement reconnue, même par des étrangers. Jésus s'en rendait compte, car il dit (Jean 12:23): « L'hure est venue où le Fils de l'homme doit être glorifié. » Aujourd'hui comme à l'époque de Jésus, le Christ, tel que le fait comprendre la Science Chrétienne, est avec nous, accomplissant les grandes œuvres qui caractérisaient le premier siècle de l'ère chrétienne. Les malades sont guéris, les pécheurs réformés et la bonne nouvelle du royaume de Dieu se répand partout.
Pourquoi la Science Chrétienne n'est-elle pas immédiatement reconnue par le monde entier? La réponse à cette question se trouve dans les Écritures. Alors que le peuple chantait les louanges de Jésus et reconnaissait en lui le Sauveur, les théologiens et les pharisiens s'opposaient à sa mission. Dans le Glossaire de Science et Santé avec la Clef des Écritures (p. 592), Mary Baker Ed2dy nous dinne la définition suivante: «Pharisien. Croyance corporelle et sensuelle; propre-justice; vanité; hypocrisie.
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