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Quand la Science Chrétienne me fut présentée,...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de juillet 1951


Quand la Science Chrétienne me fut présentée, j'avais grand besoin de secours. Nous avions quitté Vienne après l'annexion; j'étais si malheureuse, si pleine d'amertume que j'en devins malade et subis deux opérations sérieuses. Elles ne réussirent pas et l'on me dit que je resterais plus ou moins valétudinaire, qu'il ne me fallait pas travailler. L'on m'avertit qu'il serait très dangereux de me baisser ou de soulever un fardeau. N'ayant jamais été malade, je ne savais comment faire face à cette situation et je me demandais pourquoi m'arrivait une chose pareille. Mes enfants, tout jeunes, avaient besoin de moi; or j'étais presque toujours à la clinique ou à l'hôpital.

Une voisine compatissante avait remarqué que l'automobile du docteur stationnait chaque jour devant notre maison; elle m'offrit des publications Scientistes Chrétiennes; au début je résistai beaucoup, mais pour finir je lis le livre de texte, Science et Santé, par Mary Baker Eddy. Je serai toujours profondément reconnaissante de ce qu'une femme pleine d'amour agit envers moi comme une mère et se donna la peine d'apprendre à une inconnue comment elle pourrait se rétablir. Cette fidèle Scientste m'offrit d'aller entendre avec elle une conférence sur la Science Chrétienne et je n'y vis que des visages heureux. Je sus alors que ces personnes avaient trouvé une manière de vivre qui les contentait. Depuis lors la Science Chrétienne a tant fait pour moi que je ne sais par où commencer le récit de mes expériences.

Lorsqu'on me fit observer que l'amertume, le ressentiment m'avaient rendue malade, et que l'Amour «est le libérateur » (Science et Santé, p. 225), je pus me lever et fréquenter régulièrement les cultes ou les réunions. Maintenant je me rends utile, je travaille plus que je ne le faisais avant d'avoir été malade et je jouis de cette activité. A une certaine époque, les travaux du ménage, dont je n'avais pas l'habitude, me fatiguaient à tel point que j'en pleurais. Aujourd'hui je sais que ce qui importe ce sont mes pensées et non la besogne, de sorte que le travail ne m'est plus pénible; au fait, j'aurais pu prendre quelqu'un pour m'aider, mais je ne l'ai pas voulu.

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