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« L'Amour nous inspire le chemin, l'illumine,...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de juillet 1951


« L'Amour nous inspire le chemin, l'illumine, nous le désigne, et nous y guide. » Cette déclaration qui se trouve à la page 454 de Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, fut prouvée dans mon cas lorsque je m'appuyai sur la Science Chrétienne. J'ai pu voir que l'Amour me guidait vraiment toutes les fois que je mettais de côté le moi. Il y a quelque temps, là où je travaille, on m'assigna une tâche généralement tenue pour moins désirable que celle dont je m'étais occupé. Mais sans admettre cette croyance, j'entrepris la nouvelle besogne avec zèle, en m'attendant au bien. Cette expérience me donna un plus large concept de l'entreprise dirigée par mon patron; j'appris à mieux connaître le travail, ce qui m'a depuis lors rendu grand service.

Il y a plus de seize ans, avant que j'étudie la Science Chrétienne, j'eus dans le nez des excroissances osseuses qui gênaient la respiration. Je suivais un traitement médical et m'attendais à subir une opération. Quelques années plus tôt j'avais déjà passé par une intervention chirurgicale du même genre, mais le soulagement n'avait été que temporaire. Lorsqu'un oncle me présenta la Science Chrétienne, toutes mes heures libres furent consacrées à cette étude. J'aimais les Leçons-Sermons indiquées par le Livret Trimestriel de la Science Chrétienne, et les passages corrélatifs pris dans Science et Santé me firent mieux comprendre la Bible. M'intéressant à la Science Chrétienne, je n'eus plus envie de suivre un traitement médical; la foi dans les méthodes matérielles fit place à la conviction que tout être véritable se trouve dans l'Esprit. Grâce à ce changement de pensée, les excroissances gênantes disparurent et je pus respirer librement. A la même époque mon attitude et ma conduite se transformèrent à tel point que l'un de mes supérieurs, qui s'était précédemment plaint de mon travail, proposa qu'on me donne de l'avancement.

J'étais encore assez novice dans l'étude de la Science Chrétienne lorsque ma femme et moi eûmes le bonheur de suivre le cours d'instruction. Tous deux nous apprécions la ferme base que cela nous a donnée pour continuer notre étude de la Science Chrétienne.

Les publications Scientistes Chrétiennes, y compris le Livret Trimestriel dont les Leçons toujours neuves nous assurent que l'aide de Dieu est présente, m'inspirent une profonde gratitude. —

Je tiens à corroborer les faits que rapporte mon mari et à dire ma profonde reconnaissance envers Dieu pour les nombreux bienfaits reçus depuis que j'étudie la Science Chrétienne.

Je connaissais depuis peu cette Science lorsqu'un jet de vapeur sortant d'une marmite autoclave me fit une brûlure à la main. Je fus guérie en quelques minutes quand je méditai le sens du mot « incorporel » dans la définition de Dieu donnée par Mrs. Eddy à la page 465 de Science et Santé, en appliquant ceci à moi-même comme image de Dieu. La guérison fut complète, et j'en eus la preuve un peu plus tard lorsque je puisai dans une casserole du potage bouillant. A la suite d'une distraction, je versai sur ma main le liquide brûlant; j'eus une impression de chaleur, mais rien de plus.

Un jour où mon mari et moi devions dîner chez des amis, j'avais un vilain rhume. Pendant toute la journée j'avais étudié et cherché à connaître la vérité, mais sans résultat visible. Je redoutais de me rendre à l'invitation, car je savais qu'il y aurait là des personnes opposées à la Science Chrétienne. Tout en m'habillant, je persistai à connaître la vérité, et soudain il me sembla entendre les paroles: « qui n'a point à rougir.» Je savais qu'elles étaient dans la Bible, mais je n'aurais pu dire où ni citer le reste du verset. J'eus néanmoins la certitude que la Science Chrétienne n'a point à subir d'humiliation. La joie remplit mon cœur; pourtant les symptômes physiques persistèrent jusqu'au moment où nous arrivâmes à destination. Quand nous entrâmes dans la maison, le rhume disparut complètement. Plus tard je cherchai et trouvai dans II Timothée (2:15) le verset qui m'avait secourue: « Efforce-toi de te présenter devant Dieu comme un homme éprouvé, un ouvrier qui n'a point à rougir, qui dispense droitement la parole de la vérité. »

Ce fut un grand bonheur de suivre le cours d'instruction qui fait mieux comprendre la présence et le pouvoir de l'Amour divin. Au cours des cinq dernières années, le travail de mon mari nous força d'aller vivre tour à tour dans différentes régions des États-Unis et malgré les conditions difficiles, nous avons toujours pu nous loger. Pendant nos voyages, nous fûmes admirablement protégés. Quand notre fils vint au monde — c'est aujourd'hui un adolescent — je fus traitée en Science Chrétienne. La naissance fut rapide, harmonieuse. Il n'a jamais pris de remède ni subi de traitement médical.—

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