Dans son Évangile, Jean nous parle d'un homme, malade depuis trentehuit ans, et couché au bord de la piscine de Béthesda; il espérait descendre dans l'eau après qu'elle avait été agitée, et trouver ainsi la guérison. Lorsque Jésus lui demanda s'il voulait être guéri, il répliqua: « Seigneur, je n'ai personne pour me plonger dans la piscine quand l'eau est agitée; et, pendant que j'y vais, un autre y descend avant moi. »
Ces paroles respirent un désappointement pénible qui s'apparente même au désespoir. Lié par la fausse croyance qu'il lui fallait de l'aide pour entrer dans la piscine, l'infirme avait en vain attendu et désiré du secours. Mais quand Jésus s'approcha et lui parla, il fut instantanément guéri par le Christ, la Vérité. Dans un de ses poèmes, notre révérée Leader écrit (Poems, p. 75):
« O puissant Sauveur, ami des délaissés,
Vie de tout être divin!
Toi le Christ, non les credo,
La Vérité mise en œuvre,
L'eau vive, le pain, le vin du ciel. »
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