Nos publications parlent des nombreuses personnes qui vinrent à la Science Chrétienne pour y chercher la guérison. Moi j'y suis venu parce qu'il y a dix ans environ je fus guéri d'une maladie de la peau. Au début j'en souffrais peu, mais plus tard elle empira et m'empêcha de dormir. Le docteur me dit que cela provenait d'un parasite originaire de l'Amérique du Sud, qui ayant échappé à la stérilisation de la laine, se trouvait probablement dans le nouveau sous-vêtement de laine que je portais; c'était très difficile de s'en débarrasser, car ses traces ne se voyaient que deux ou trois jours après, et il ne s'attaquait jamais au même endroit. L'ordonnance que m'avait donnée le docteur pour tuer le microbe ne diminua pas le mal mais le fit augmenter, si bien que je ne pouvais même plus m'étendre.
Ma femme, désirant que mes souffrances s'allègent, alla téléphoner à quelqu'un. J'appris plus tard que la praticienne lui avait expliqué qu'on pouvait l'aider à changer ses pensées concernant mon état, et que « tout est possible à Dieu. » Quand elle revint vers moi, ma femme me dit que je devrais aller à la salle de bain, prendre une brosse et du savon et me débarrasser de cet onguent. Je lui répondis qu'il était impossible de frotter la chair vive avec une brosse. Elle me fit voir un livre qu'elle lisait et dit: « Il n'y a rien d'impossible. » J'obéis donc et pus faire ce qu'on me disait. Cette nuit-là, pour la première fois depuis trois semaines, je dormis bien, et le lendemain à déjeuner quand on me demanda comment j'allais, je ne pus que dire: « Bien! » car les plaies ne me faisaient plus mal.
Le livre que m'avait fait voir ma femme le soir précédent fut placé entre mes mains et on me pria de le lire. Je le pris et regardai le titre: Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy. J'en lus la Préface, le premier chapitre, puis je choisis çà et là certains passages d'un bout à l'autre du livre, et quand on m'appela pour souper je lisais « l'exposé scientifique de l'être » (p. 468). Après le repas, nous constatâmes qu'une peau neuve recouvrait les plaies, qui étaient presque guéries. Ce fut pour moi une merveilleuse révélation, qui changea toute ma vie.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !
