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Je dois à la Science Chrétienne la guérison instantanée d'un sérieux...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de juillet 1937


Je dois à la Science Chrétienne la guérison instantanée d'un sérieux empoisonnement. Ce mal me surprit un dimanche soir pendant que j'étais dans une église Scientiste Chrétienne, et vers la fin du culte je me sentais bien mal. Je n'aurais pu me tenir debout sans m'appuyer sur la chaise placée devant moi, et ma vue était si trouble que je ne pouvais lire à quelques mètres de distance les numéros des cantiques. Après le culte je parvins à marcher jusque vers ma motocyclette, et je m'y cramponnai en me demandant ce qu'il fallait faire, car je me sentais absolument incapable d'aller à motocyclette.

Mrs. Eddy écrit dans Science et Santé (p. 393): « L'homme n'est jamais malade, car l'Entendement n'est pas malade, et la matière ne peut l'être. » J'avais essayé de savoir, et j'avais déclaré, qu'étant l'image et la ressemblance de Dieu, l'homme n'est pas exposé à souffrir ainsi; mais l'effort nécessaire pour revendiquer ma guérison semblait me faire défaut. En cet instant, je vis sortir de l'église un homme logeant dans la caserne navale où j'étais moi-même de service. C'était la première fois que je voyais quelqu'un de cette caserne s'intéresser à la Science Chrétienne, et j'eus l'impression qu'il me fallait aller lui dire un mot d'encouragement. Dans ce dessein, je lâchai ma moto; au même moment, je cessai d'avoir pour moi-même des pensées maladives, et la vérité que j'avais déclarée se réalisa. Toute trace de poison disparut et je me trouvai absolument bien. Dès que j'eus détourné ma pensée de moi-même pour aider mon prochain dans la Science Chrétienne, je ne ressentis aucune douleur; et se souvenir n'a cessé d'être pour moi une aide et un précieux encouragement.

Quelques années plus tard, j'étais de nouveau dans une grande caserne contenant environ quatre mille matelots, lorsqu'éclata une épidémie de méningite cérébro-spinale. Parmi les premiers cas, quelques-uns furent mortels; et les hommes qu'on croyait avoir été exposés à la contagion furent mis strictement en quarantaine. Une vague de trouble et de crainte se faisait sentir chaque fois qu'après une accalmie durant peut-être quinze jours, on annonçait un nouveau cas. Les choses allèrent ainsi pendant un certain nombre de semaines.

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