Dans un lumineux passage de Science et Santé avec la Clef des Écritures, Mrs. Eddy déclare (p. 428): « Il faut mettre en lumière le grand fait spirituel que l'homme est, non pas sera, parfait et immortel. Nous devons être pour toujours conscients de l'existence, et tôt ou tard, par le Christ et la Science Chrétienne, nous devrons maîtriser le péché et la mort. L'évidence de l'immortalité de l'homme deviendra plus apparente, à mesure que l'on renoncera aux croyances matérielles et que l'on admettra les faits immortels de l'être. »
Qu'il est précieux d'apprendre par la Science divine que le corps matériel n'est point l'homme, que jamais en naissant l'homme n'est entré dans la matière, qu'il ne saurait vivre ou souffrir dans la matière, et qu'il n'a donc pas besoin de mourir pour y échapper; que l'homme véritable est actuellement, a toujours été et sera toujours l'image et la ressemblance spirituelle de Dieu, parfaite, immortelle, immuable, coexistente et coéternelle au Père!
La physiologie contredit ce grand fait spirituel; elle ne s'occupe que du corps matériel, qui change depuis l'heure de la naissance humaine jusqu'à celle de la mort. Il y a quelques années, les physiologistes enseignaient qu'en sept ans, le corps se renouvelle du tout au tout. Aujourd'hui certains prétendent que ce changement n'exige guère plus de sept mois. Ce n'est là qu'une des nombreuses théories du matérialisme, toujours incertaines et variables.
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