Dans les sphères commerciales, on parle beaucoup de la prétendue crise, et l'on s'efforce par des méthodes matérielles de surmonter les obstacles qu'elle semble susciter; aussi suis-je très heureux de dire ce qui m'est arrivé récemment.
Pendant la fermeture des banques en 1933 je n'avais ni emploi, ni fonds, ni ressources quelconques; en outre, mon propriétaire réclamait avec insistance le prix de la location, l'épicier refusait de me faire plus longtemps crédit, et on m'avait coupé l'électricité et le gaz. Mon problème se résolut lorsque je m'attachai fermement à la vérité, sachant que « la détresse de l'homme est l'opportunité de Dieu; » il me fallut voir que l'homme, idée parfaite de Dieu, reflète seulement le bien et n'est pas sujet à la pénurie ou aux limitations, mais a droit à l'abondance.
Durant cette période, ma famille vécut au jour le jour du peu d'argent ou de vivres que je pouvais lui apporter, jusqu'à ce qu'on m'offrît du travail: il s'agissait de vendre et de placer un produit sur un marché qui passait pour être saturé et en proie au marasme. Grâce à l'application de la Science Chrétienne, mon travail progresse et se développe de plus en plus. J'apprends que les seules affaires sont celles de Dieu, fondées sur la Règle d'or; que le progrès est le développement scientifique du bien, car il est possible de servir Dieu en rendant service aux hommes. Ces expériences m'ont fait voir que « les épreuves prouvent la sollicitude de Dieu » (Science et Santé, p. 66).
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