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Avis intéressants

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de décembre 1934


[Extrait de la Christian Science Sentinel ]

On adresse souvent au Conseil des Directeurs de l'Église de la Science Chrétienne certaines questions touchant les réunions du mercredi soir: Les citations lues dans la Bible et Science et Santé doivent-elles être considérées et annoncées comme « choix de passages » ou comme « passages corrélatifs »? Combien de temps leur lecture doit-elle durer? Convient-il de les appeler « leçon » ou « leçon-sermon »?

A la première de ces questions, il faut répondre: « L'un ou l'autre. » L'Article III du Manuel de l'Église contient à la Section 3 un Statut intitulé « Lectures à Faire » et disant que les Premiers Lecteurs liront le mercredi soir « des passages tirés des Écritures et de Science et Santé avec la Clef des Écritures. » L'ordre des cultes pour les réunions du mercredi, à la page 122 du Manuel, contient cette prescription: « Lire la Bible et les passages corrélatifs de Science et Santé avec la Clef des Écritures. »

A L'Église Mère, le Premier Lecteur se borne généralement à lire au plus trois passages de la Bible et cinq passages corrélatifs pris dans Science et Santé. S'il paraît nécessaire d'augmenter ce nombre, on le fait à l'occasion, mais les Directeurs de L'Église Mère n'autorisent pas la préparation d'une « leçon » ou « leçon-sermon » pour les réunions du mercredi soir à L'Église Mère. La lecture des passages choisis occupe de neuf à dix minutes, et à L'Église Mère ce temps est réparti d'une manière égale entre les citations bibliques et celles de Science et Santé. Ajoutons que le choix des passages devant être lus le mercredi soir incombe au Premier Lecteur qui préside la réunion. Les bienfaits qu'apporte ce travail sont immenses; aucun Lecteur ne peut se permettre de confier ce soin à d'autres personnes; et les Scientistes Chrétiens ne sauraient approuver quiconque s'arrogerait le privilège de choisir pour eux, avec ou sans rétribution et quelle que soit la félicité du choix, les passages corrélatifs qu'ils doivent lire aux réunions du mercredi soir.

Les annonces faites aux réunions de L'Église Mère sont basées sur l'ordre des cultes. Ainsi le Lecteur qui préside la réunion du mercredi, après avoir recommandé qu'on parle distinctement et sans dépasser une limite de trois minutes environ, s'exprime ainsi: « Les assistants sont maintenant invités à nous communiquer des 'expériences, témoignages et remarques sur la Science Chrétienne.’ » (Voir Manuel, p. 122.) Ensuite il guide les orateurs, si la chose est nécessaire, en priant l'un d'eux de parler plus fort, ou en demandant à un autre dont le témoignage dure trop longtemps de bien vouloir conclure. Souvent à la fin de la réunion, quelques personnes qui espéraient pouvoir témoigner sont encore debout. Mais la réunion se termine ponctuellement, avec un écart de deux ou trois minutes au plus; et cas échéant le Lecteur dit combien il regrette que le temps ne lui permette pas de donner la parole à tous ceux qui se sont levés. Puis tous peuvent exprimer leur reconnaissance par le chant du cantique final.

[Extrait de la Christian Science Sentinel ]

Certaines personnes se sont demandé si « Association de Bienfaisance » est vraiment la désignation qui convient à un sanatorium où une partie des hôtes paient leur pension et les soins qu'ils reçoivent. D'autres personnes ont pensé que les termes « Institutions charitables » ne peuvent pas bien s'appliquer à nos Sanatoriums. Nous ferons remarquer que le mot « bienfaisance » est applicable puisque les Associations de Bienfaisance de la Science Chrétienne, loin d'être des entreprises commerciales, ne font pas leurs frais; ce sont donc des institutions philanthropiques, bien que les hôtes qui en ont les moyens paient leur séjour. Dans un Statut intitulé « Praticiens et Patients » (Manuel de l'Église, Art. VIII, Sect. 22), Mrs. Eddy se sert du mot anglais benevolent pour désigner le Scientiste Chrétien; et ce terme est juste, bien que le praticien ait des patients qui paient leur traitement. On reconnaît en général que les praticiens sont vraiment généreux, dévoués et bienfaisants.

Quant au terme « charitable »: d'après une loi du Massachusetts, le Sanatorium de Chestnut Hill rentre dans la catégorie des « institutions charitables, » termes qui impliquent précisément ce qui se passe au Sanatorium; car certains hôtes ne paient qu'une partie de leur pension et d'autres sont reçus gratuitement, selon leurs besoins, l'intérêt qu'ils méritent, et leur éligibilité. Le Sanatorium du Pacifique se classe dans la même catégorie. « La plus noble charité, » dit le talmudiste cité par Mrs. Eddy dans la Préface de Miscellaneous Writings, « consiste à empêcher qu'un homme ne doive accepter la charité; et les meilleures aumônes sont celles qui instruisent l'homme à se passer d'aumônes, et l'en rendent capable. » Toute institution qui, à l'instar de nos deux Sanatoriums, s'occupe de ceux qui sont découragés, malades, désavantagés, pour les affranchir et leur permettre de se rendre utiles, a droit aux désignations de « charitable » et de « bienfaisante. »

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