Je voudrais exprimer ma gratitude au sujet de ce que la Science Chrétienne à fait pour moi.
En 1917, l'armée britannique m'accorda un congé définitif parce que j'avais un vice de cœur et une maladie des poumons. J'étais à la maison depuis quelques jours seulement quand je tombai gravement malade des nerfs. Je gardai le lit pendant huit semaines, et aucun de mes voisins ne s'attendait à me revoir en vie. Je dans ce triste état pendant près de cinq ans, ayant toujours sur moi un flacon d'eau-de-vie. Au cours de cette période, je consultai environ neuf médecins, mais je n'allais pas mieux; par le fait je m'affaiblissais toujours plus, et craignais de traverser la route sans aide ou de rester quelques minutes seul à la maison.
Arrivé à ce point, je tombai entre les mains d'un hypnotiseur, ce que j'ignorais alors. Tandis qu'il me traitait, une personne qui travaillait pour ma femme lui demanda comment j'allais; ma femme répondit que je suivais un nouveau traitement dont on espérait grand bien. En rentrant à la maison, cette personne passa chez une dame qui étudiait la Science Chrétienne et lui parla de moi. Aussitôt cette dame écrivit à ma femme, lui envoya une Christian Science Sentinel et l'invita à venir la voir. Ma femme y alla et fut chaleureusement reçue. Cette dame lui remit Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy; ma femme l'ouvrit à la Préface, y lut ces paroles (p. vii): “Pour ceux qui s'appuyent sur l'infini et qui en font leur soutien, aujourd'hui est gros de bienfaits,” et s'écria: “J'ai trouvé ce que je cherchais.” Quand elle rentra, je m'enquis non sans crainte de ce qui s'était passé. Elle répondit: “Tu as entendu parler du ciel sur la terre; c'est là que j'ai passé deux heures aujourd'hui.” Ma femme alla dans une Salle de Lecture de la Science Chrétienne; elle emprunta Science et Santé et La Vie de Mary Baker Eddy, par Sibyl Wilbur, que nous lûmes ensemble. Quand nous en arrivâmes dans la biographie à l'endroit où il est question de Mr. Quimby, ma femme me dit: “C'est là que tu en es.” Alors je me rendis compte que le traitement par l'hypnotisme ne pouvait me guérir.
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