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Le Christian Science Monitor du 25 mai a publié un article sur le carillon de L'Église Mère. Il a soulevé quelques expressions de gratitude venant de ceux qui aimant les cloches se sont inspirés du message de leur tintement. Parmi ces lettres d'appréciation, nous en citerons une notable, celle d'une femme qui, il y a dix-neuf ans, habitait à Boston, suffisamment près de L'Église Mère pour en entendre le carillon. A cette époque, elle avait des préjugés contre ce qu'elle croyait être la Science Chrétienne, et la pensée influente de sa famille tendait à l'éloigner des enseignements de Mrs. Eddy. Bien qu'on lui eût dit que les Scientistes Chrétiens étaient fanatiques, elle remarqua pourtant que ceux qui fréquentaient l'église paraissaient intelligents et prospères; mais c'étaient les cloches, dit elle, qui continuaient d'attirer son attention. Un jour, une dame à qui elle disait à quel point elle les aimait lui demanda aussitôt si elle consentirait à l'accompagner à l'église. Puis elle ajoute: "Je me souviens de l'avoir regardée avec surprise en découvrant qu'elle était Scientiste Chrétienne, et comme elle n'était pas bizarre et ne le paraissait point, je l'y suivis." Plus tard, le mari de notre correspondante l'accompagna à l'église; puis elle termine sa lettre en disant: "Nous avons trouvé l'amour et le secours de l'organisation de la Science Chrétienne. La route n'a pas toujours été facile, mais nous devons au carillon de nous avoir amenés à la Science Chrétienne. Je n'aurais probablement pas écouté cette Scientiste Chrétienne, mais les cloches impersonnelles avaient préparé le chemin."

A coup sûr, de tels fruits parlent éloquemment du message que, selon l'expectative de Mrs. Eddy, le carillon de L'Église Mère devait envoyer conformément à l'inscription suivante choisie par notre Leader pour être incorporée à la plus grosse cloche pesant deux tonnes: "Fondée sur l'Amour."