Parmi les joies qu'il est possible de ressentir, il en est une dont on ne se lasse jamais: celle de remercier Dieu pour toute Sa bonté.
Il nous est dit à la page 567 de Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy, que “la Vérité et l'Amour viennent plus près à l'heure de la détresse.” Nous en eûmes la preuve l'été dernier, lorsque, étant à la campagne, notre petite fille âgée de sept ans tomba sur l'épaule, et se fit très mal. Je pris l'enfant dans mes bras, remplissant de mon mieux ma propre conscience des pensées de vérité qui me vinrent à la pensée et lui faisant exprimer toute sa foi en cette “douce présence: paix et joie et puissance” dont parle notre Leader (Poems, p. 4). Pendant une partie de la nuit, mon mari et moi essayâmes de comprendre que c'est en Dieu que l'homme a la vie, le mouvement et l'être; et avant l'aube, je sentis venir en moi une grande paix, qui effaça toute crainte. Le lendemain, je pus habiller l'enfant. Elle reprit progressivement l'usage de son bras et la souffrance disparut peu à peu. Afin de pouvoir ajuster notre reconnaissance à la valeur du bienfait reçu, nous avons fait, il y a quelques mois, radiographier l'enfant. La plaque a révélé qu'il y avait eu fracture de la clavicule, mais que tout était parfaitement remis.
La loi divine soutient l'être spirituel de l'homme. C'est pourquoi Mrs. Eddy a pu écrire à la page 427 de Science et Santé: “Qu'un os soit fracturé, que le corps soit guillotiné, l'homme demeure inchangé.” Lorsque nous obéissons aux statuts divins, nous sommes gouvernés directement par Dieu.
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