La maladie, un profond chagrin causé par la mort de chers membres de ma famille, ainsi que l'inquiétude et les soucis relatifs aux besoins quotidiens de mes enfants et des miens propres m'avaient épuisée. Il est dit: “La dernière extrémité de l'homme est l'opportunité de Dieu,” et cette vérité se réalisa dans mon cas.
En 1923, je fis une excursion avec une amie qui, je le savais, avait été merveilleusement guérie, et quand je lui demandai quel remède elle avait employé, elle répondit: “La Science Chrétienne.” C'était la première fois que j'entendais parler de la Science Chrétienne, et je me sentis aussitôt attirée vers ce bel enseignement, convaincue que l'Amour divin m'affranchirait, moi aussi, de la maladie et du chagrin. Après cela, je commençai à fréquenter les cultes bienfaisants du dimanche et les réunions du mercredi soir consacrées aux témoignages, et à lire assidûment la Bible et le livre de texte de la Science Chrétienne: Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy. Une aimable praticienne, à qui je demandai du secours, travailla consciencieusement pour moi, de sorte que, en peu de temps, je fus non seulement guérie de mes souffrances, mais j'avais fait de tels progrès dans la compréhension de la Science Chrétienne que je pus démontrer ce merveilleux enseignement pour ma famille et pour moi, et guérir un empoisonnement du sang, des brûlures et d'autres maux.
Les paroles sont insuffisantes à exprimer ma gratitude envers notre Père-Mère, Dieu, et envers Mrs. Eddy, pour tous les bienfaits que m'a valus l'Amour divin. Je pense aussi avec gratitude à la chère praticienne.
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