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[L'original de ce témoignage est en allemand]

Pleine de gratitude envers Dieu pour tout le soulagement que j'ai ressenti...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de décembre 1928


Pleine de gratitude envers Dieu pour tout le soulagement que j'ai ressenti dans la Science Chrétienne, et espérant apporter du soulagement à quelqu'un qui souffre encore sur sa route, j'aimerais parler de ma guérison de la soi-disant tuberculose pulmonaire incurable.

Au printemps de 1923, à la suite d'un épuisement et d'une faiblesse prolongés, je tombai soudainement très malade. Grâce au traitement de la Science Chrétienne que j'avais demandé, je fus guérie. En été, je me croyais rétablie, et j'aurais pu l'être, si je n'avais pas permis à l'erreur sous forme de chagrin et de tourment de trop envahir ma pensée; ce qui fait que l'hiver suivant, je tombai sérieusement malade et restai alitée pendant près de quatre mois.

Au printemps de 1924, grâce au secours de Dieu et à une affectueuse praticienne de la Science Chrétienne, qui me guida patiemment, je me sentais si bien remise que la pensée me vint de partir pour la campagne. Un médecin vers qui j'allai cependant me faire ausculter me demanda d'un ton alarmant: “Madame, comment êtes-vous venue ici?” “En tramway,” ré- pondis-je. “Bien! Et ensuite?” ajouta-t-il. “Ensuite, j'ai marché.” Il en fut très alarmé et me dit que j'avais une maladie pulmonaire très dangereuse. Jusqu'alors, je l'avais ignoré, mais je m'attachai de mon mieux à la vérité. Aussi, vers la fin de mai, je me mis en route. Je quittai la maison à six heures du matin et j'arrivai à destination vers six heures du soir. Il pleuvait à verse, et je dus monter la colline pendant une demi-heure.

Quelques jours après, le médecin de la famille m'ausculta de nouveau et déclara que j'avais la tuberculose des poumons,— maladie incurable et chronique, et que je ne passerais pas l'hiver. Cependant, j'en savais assez long pour contredire sa déclaration et m'attacher à cette vérité, à savoir que Dieu est ma Vie. Quelque temps plus tard, le médecin qui continuait à me surveiller me dit: “Vous m'étonnez; je suis presque porté à croire que vous allez vous rétablir.” Puis le 2 juillet, je reçus de mauvaises nouvelles de la maison. Je me mis à pleurer, et le souvenir de tous mes chagrins d'autrefois reparut. Ayant permis à cette erreur de demeurer dans ma conscience, j'en ressentis aussitôt les sinistres effets. Mon état s'aggrava très sérieusement, et les gens chez lesquels j'habitais ne voulaient pas me garder; mais j'étais trop malade pour que l'on me transportât. Le médecin abandonna tout espoir. Il était très bon et n'insista pas à me faire prendre des remèdes; il m'écouta lorsque je lui parlai de la Science Chrétienne. Au bout de sept semaines, après m'avoir auscultée, il arpenta la chambre en secouant la tête, et je dus lui expliquer le pouvoir de l'Esprit. Une semaine se passa et il dit: “Le poumon est guéri.” Trois semaines après, je rentrai à la maison et l'on me radiographia. Le médecin ne voulait pas croire que j'avais été malade. On m'envoya à la clinique des tuberculeux. Là, aussi, on constata que le poumon était sain. C'était au commencement d'octobre 1924.

Je suis sincèrement reconnaissante à Dieu de cette guérison. Je Lui suis reconnaissante de nous avoir donné Christ-Jésus et Mrs. Eddy, qui, par amour pour l'humanité et grâce à leur fidélité à Dieu, nous ont enseigné et prouvé que le bien tout entier nous attend si nous comprenons ce qu'est notre Père céleste,— ce qui est bien plus salutaire encore que la guérison physique. Je suis aussi reconnaissante à la praticienne de son amour et de sa patience.

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