Lorsqu’un ami avec qui je travaillais attira pour la première fois mon attention sur la Science Chrétienne, je me rendis à une réunion du mercredi soir consacrée aux témoignages, mais je n’y pris pas goût et ne m’en occupai plus. Cependant, un an plus tard, j’eus le désir d’y retourner. J’avais de l’astigmatisme, une maladie des nerfs et, à mon grand déplaisir, je portais des lunettes depuis trois ans. Je dois avoir été plus susceptible de recevoir la vérité la seconde fois que j’assistai au service, car je sortis de l’église très heureux et plein d’espoir, et le lendemain même j’achetai un exemplaire du livre de texte: Science et Santé avec la Clef des Écritures, par Mary Baker Eddy. Après avoir lu ce livre pendant plusieurs heures, je ressentis une paix que je n’oublierai jamais; c’était cette paix qui “surpasse toute intelligence.”
Le même soir j’enlevai mes lunettes; et je ne les ai plus portées depuis. Il y a environ dix ans de cela. Grâce à l’aide d’un praticien qui m’expliqua que ma vie est spirituelle, non matérielle, à l’étude journalière de la Leçon-Sermon et à la lecture des périodiques de la Science Chrétienne, je m’aperçus bientôt que mes yeux étaient complètement guéris. Durant ces dix années beaucoup d’autres guérisons se sont effectuées en moi: empoisonnement par la ptomaïne, maux de gorge, rhumes de cerveau, etc., ont été enrayés. Dernièrement, avec l’aide d’un praticien, j’ai été guéri d’un furoncle virulent à la jambe, qui était si enflée et si douloureuse que pendant plusieurs jours je ne pus ni vaquer à mes occupations, ni dormir la nuit. Durant cette épreuve je fus fortement impressionné par cette phrase de Science et Santé, à la page 162: “La Science Chrétienne apporte au corps la lumière de la Vérité qui fortifie et purifie;” j’éprouvai le même sentiment au sujet de ce que dit Mrs. Eddy à la page 421 du même livre. Ces passages me permirent de comprendre qu’il n’y a pas de maladie, et de changer ma pensée d’une base matérielle à une base spirituelle. Après avoir fait la lecture pendant quatre heures, j’étais affranchi de toute douleur et l’inflammation disparut. Au bout de trois jours le furoncle perça, et lo cinquième je pus retourner à mes affaires.
Aucunes paroles ne suffiraient à exprimer la profonde gratitude que je ressens pour toutes ces guérisons et pour le peu de compréhension que j’ai de cette vérité qui m’est chère. Mon désir ardent est que je sois digne d’être appelé un Scientiste Chrétien.
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