Le cœur plein de reconnaissance, je désire rendre témoignage de la guérison d’une maladie grave dont j’ai été affranchie, grâce à la Science Chrétienne. En 1912, je fus prise d’une inflammation à la glande thyroïde, et une maladie de cœur se déclara. Lorsque le docteur que j’avais fait appeler eut prononcé son verdict, disant que le mal était incurable, le désespoir s’empara de moi. Il ne restait qu’une chose à essayer,— c’était une opération qui, cependant, pensait-on, ne devait pas m’apporter beaucoup de soulagement; mais, vu l’état de faiblesse physique dans lequel je me trouvais, l’opération n’était pas possible. De sorte que je n’avais d’autre perspective que la mort, qui, ainsi qu’on s’y attendait, était proche.
Mon frère, qui était au Hanovre à cette époque, avait été guéri d’une maladie soi-disant incurable par le traitement de la Science Chrétienne. Ceci me redonna du courage; et la même chère praticienne me donna un premier traitement après lequel je me sentis mieux et m’endormis; le sommeil était une chose dont je n’avais plus joui depuis six mois. Aujourd’hui, grâces soient rendues à l’aide divine, je suis si heureuse et si bien portante que je peux faire de longues promenades et des excursions sans me fatiguer; tandis qu’autrefois je ne pouvais même pas monter un étage. Je ne puis exprimer en paroles toute la reconnaissance que j’éprouve d’être affranchie de la souffrance et du tourment. L’Amour divin nous est toujours venu en aide, non seulement dans des cas de maladie, mais aussi dans toute question pécuniaire. Nous avons prouvé à nouveau que:
“Quiconque se repose sur le Dieu tout-puissant,
Ne construit pas sa maison sur le sable.”
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