Je connais la Science Chrétienne depuis près de quatre ans, et c'est avec le cœur joyeux et la reconnaissance la plus profonde que je témoigne du fait, qu'avec le temps, j'ai de plus en plus mis à l'épreuve les grandes vérités et le merveilleux pouvoir rédempteur de cet enseignement. Non seulement les guérisons physiques sont une preuve de l'omnipotence et de l'amour de Dieu, mais la compréhension et l'application de cet enseignement nous donnent aussi un merveilleux sentiment de liberté et de sécurité en Dieu.
L'affliction et la souffrance physiques qui n'avaient cédé à aucun traitement médical, amenèrent enfin ma famille à la Science Chrétienne, dont nous reçûmes affectueusement du secours. La première fois que je lus quelque publication de la Science Chrétienne, la bonne logique qui s'y exprime m'attira. Et lorsque, plus tard, je pénétrai cet enseignement plus à fond en étudiant le livre de texte, “Science et Santé avec la Clef des Écritures,” par Mary Baker Eddy, je reçus une réponse à toutes mes questions et à tous mes doutes, et je fus remplie d'une grande paix. Ce qu'aucun autre enseignement ecclésiastique, sectaire ou philosophique n'avait jamais pu me donner, je l'ai trouvé dans la Science Chrétienne, à savoir un Dieu vivant, guérisseur et bon, qui ne connaît pas le mal, qui est le divin Principe, qui n'est plus inconnaissable, et qui ne punit pas, n'est pas courroucé et ne condamne pas. Je pus bientôt faire moi-même l'épreuve de cet Amour guérisseur.
Pendant bien des années j'avais souffert d'un vilain rhumatisme, qui ne cédait ni au traitement de la médecine, ni au massage, ni à d'autres soi-disant cures. Au contraire, le mal augmentait continuellement. Finalement, les douleurs étaient si fortes dans toutes les jointures que je craignais ne plus jamais pouvoir m'en servir. Je m'adressai alors à la Science Chrétienne, et grâce au secours affectueux d'une praticienne, la Toute-puissance divine me guérit. Depuis lors, j'ai eu recours pour tous mes maux à ce remède qui est le meilleur de tous; et toutes les fois que la crainte ou le doute se montrait et que les douleurs se faisaient sentir, j'étais toujours réconfortée par ces paroles divines: “Ne crains point; crois seulement.” Elles m'encourageaient à persévérer jusqu'à ce que la crainte fût vaincue, que le pouvoir divin se manifestât, et que j'eusse reçu la guérison.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !
