
Editoriaux
Quand Marthe, avant la résurrection de Lazare, vint à la rencontre de Jésus, elle l’assura qu’elle avait en lui une foi absolue. Elle savait que si le Maître avait été présent, son frère ne serait pas mort; elle ne doutait pas qu’à l’heure même, Dieu accorderait à Jésus tout ce qu’il demanderait.
Selon Webster, le mot « contrefaçon » peut signifier « copie d’un objet faite dans une intention de fraude; » ou encore « ce qui représente une autre chose ou y ressemble. » Par exemple, un faux billet de banque est fait à l’imitation du vrai billet, pour duper la personne qui le reçoit en paiement.
Au point de vue de la Science Chrétienne, l'expérience est toujours instructive, progressive. Elle éprouve le caractère, elle exerce l'intelligence.
Beaucoup croient que si nos paroles et nos actes sont conformes à la morale humaine, ce que nous pensons importe peu; mais la Science Chrétienne réfute complètement cette supposition. Elle nous montre l'importance plus que relative de la pensée, laquelle est en toute circonstance le facteur déterminant.
Pour le lecteur ou l'auditeur moyen, le mot « circulation » semble avoir trait le plus souvent à des choses matérielles comme l'argent ou les écrits. Voici l'une des définitions qu'en donne le dictionnaire: « Mouvement circulaire, transport, fait d'aller et de venir.
Le premier chapitre de la Genèse emploie (dans la version anglaise) le mot « domination » pour indiquer ce que Dieu assure à l'homme, sans limites ni restrictions. D'après le dictionnaire, « domination » signifie « autorité souveraine ou suprême, » « pouvoir de direction, » « libre droit de posséder, de faire usage et de gouverner.
Si les hommes avaient plus généralement consacré leurs efforts et leurs études à éclairer la race humaine, celle-ci serait sans doute déjà parvenue à un développement moral supérieur. Mais l'esprit humain, qui croit au bien et au mal, a regardé l'influx des lumières tantôt comme un ami, tantôt — et presque aussi souvent — comme un ennemi.
Il est probable qu'à l'époque où fut écrit l'Ancien Testament, les Israélites n'acceptaient pas généralement le fait de l'immortalité individuelle. Le Nouveau Testament lui-même mentionne à ce sujet des disputes entre les pharisiens et les sadducéens.
Concernant la relation qui subsiste entre l'homme et Dieu, Mrs. Eddy déclare, à la page 181 de Miscellaneous Writings: « Ainsi ce n'est pas un don personnel, mais c'est l'ordre de la Science divine.
Un auteur a dit que le chapitre treize de la première Épître aux Corinthiens était de la part de saint Paul un « Hymne à l'Amour, » « une interprétation lyrique du Sermon sur la montagne — les béatitudes mises en musique. » En général, ceux qui connaissent bien la Bible tiennent ce merveilleux texte pour un des plus précieux passages de l'Écriture.