
Editoriaux
La Science Chrétienne met en relief le fait que l’Entendement divin est éternel, sans commencement ni fin, et que l’homme réel est le reflet spirituel de cet Entendement éternel. L’attitude que nous avons adoptée vis-à-vis de la question de l’âge détermine si nous acceptons ou non l’Entendement éternel comme notre propre Entendement.
L'indépendance se fonde sur la dépendance. Cette déclaration est-elle un non-sens ? Elle semble l'être, à première vue, mais une recherche plus approfondie révèle que l'indépendance d'une personne ou d'une nation se fonde toujours sur une mesure quelconque de dépendance de Dieu, le Principe divin.
En réponse à la question « Qu'est-ce que l'homme ? » Mrs. Eddy écrit entre autres: « L'homme est idée, l'image de l'Amour; il n'est pas physique.
Le dicton populaire selon lequel l'attaque constitue la meilleure défense peut s'avérer fallacieux; il y a en effet des circonstances où la sagesse de cet adage-ci, tiré de la Bible, peut mieux se justifier et garantir la réussite: « Une réponse douce calme la fureur. » Prov.
Les Scientistes Chrétiens relèvent les symptômes, mais ceux-ci sont mentaux, non physiques. Ce sont des symptômes de santé, non de maladie.
« Jésus, portant sa croix, arriva au lieu du crâne.
Que nous en soyons conscients ou non, en fin de compte tout le monde désire être heureux. Le droit de poursuivre ce but général, c'est Dieu qui l'a donné, ainsi que l'ont reconnu les auteurs de la Déclaration d'Indépendance des États-Unis il y a plus de deux cents ans.
Nous vivons à l'âge de la raison. Les gens exigent des preuves.
Avec le premier souffle tiède du printemps, la pensée de nos jeunes se tourne vers le plein air, vers le stade et vers les sports qu'ils pratiquent en si grand nombre. Les équipes d'aviron s'organisent, on commence à s'entraîner, et on dirait que le monde entier se met à résonner de la stimulation des épreuves, du cri joyeux des vainqueurs et — pour compléter le tableau — de la déception des vaincus et des explications qu'ils fournissent.
Il se peut que le malade soit anxieux de parler de lui-même, oralement ou mentalement, en se servant de termes spirituels; mais une fois rétabli, il se peut qu'il les oublie. C'est qu'alors, en pareil cas, le désir fait défaut de rejeter un sens matériel de soi et de reconnaître son identité spirituelle.