
Editoriaux
« Comment le Scientiste Chrétien peut-il dire qu’il n’y a pas de matière alors que je peux la voir et la sentir, en connaître les composants et les propriétés, que je sais comment en désassembler les éléments, pour la remonter ensuite ? Comment pouvez-vous prétendre guérir la maladie, alors que vous ne prêtez nulle attention au corps qui la renferme ? J’admets qu’au moyen de la suggestion hypnotique vous pouvez faire croire au patient qu’il est en bonne santé, mais sorti de sa transe, il retrouvera sa maladie comme auparavant. » Il arrive parfois que pareil concept totalement erroné de la Science Chrétienne et de son opération soit le fait de ceux dont la méthode de raisonnement se forme selon l’étude exigeante des sciences physiques ou peut-être de la psychologie.
La Science Chrétienne met en relief le fait que l’Entendement divin est éternel, sans commencement ni fin, et que l’homme réel est le reflet spirituel de cet Entendement éternel. L’attitude que nous avons adoptée vis-à-vis de la question de l’âge détermine si nous acceptons ou non l’Entendement éternel comme notre propre Entendement.
L'indépendance se fonde sur la dépendance. Cette déclaration est-elle un non-sens ? Elle semble l'être, à première vue, mais une recherche plus approfondie révèle que l'indépendance d'une personne ou d'une nation se fonde toujours sur une mesure quelconque de dépendance de Dieu, le Principe divin.
En réponse à la question « Qu'est-ce que l'homme ? » Mrs. Eddy écrit entre autres: « L'homme est idée, l'image de l'Amour; il n'est pas physique.
Le dicton populaire selon lequel l'attaque constitue la meilleure défense peut s'avérer fallacieux; il y a en effet des circonstances où la sagesse de cet adage-ci, tiré de la Bible, peut mieux se justifier et garantir la réussite: « Une réponse douce calme la fureur. » Prov.
Les Scientistes Chrétiens relèvent les symptômes, mais ceux-ci sont mentaux, non physiques. Ce sont des symptômes de santé, non de maladie.
« Jésus, portant sa croix, arriva au lieu du crâne.
Que nous en soyons conscients ou non, en fin de compte tout le monde désire être heureux. Le droit de poursuivre ce but général, c'est Dieu qui l'a donné, ainsi que l'ont reconnu les auteurs de la Déclaration d'Indépendance des États-Unis il y a plus de deux cents ans.
Nous vivons à l'âge de la raison. Les gens exigent des preuves.
Avec le premier souffle tiède du printemps, la pensée de nos jeunes se tourne vers le plein air, vers le stade et vers les sports qu'ils pratiquent en si grand nombre. Les équipes d'aviron s'organisent, on commence à s'entraîner, et on dirait que le monde entier se met à résonner de la stimulation des épreuves, du cri joyeux des vainqueurs et — pour compléter le tableau — de la déception des vaincus et des explications qu'ils fournissent.