J’ai compris qu’il me fallait avoir un concept moins limité de moi-même. Ce qui s’apparentait à une identité mortelle et matérielle, soumise au vieillissement et à une histoire matérielle, n’était pas ma véritable identité en Dieu.
De plus en plus, je prie pour comprendre comment « suiv[re] le sentier de la Vérité », pensée après pensée, plutôt que de m’efforcer tout bonnement de rester en vie dans une histoire mortelle.
Dieu est parfait et entièrement bon, donc Il ne peut pas être malade. A l’école du dimanche, nous avons lu dans la Bible que Dieu nous a créés à Son image, alors nous ne pouvons pas non plus être malades.
A l’école du dimanche, j’avais appris que l’homme est un avec Dieu, mais je commençais désormais à percevoir cette unité sous un jour nouveau. J’apprenais avec joie que ma relation à Dieu est permanente et ne peut être ni perdue ni bloquée.
J’ai tourné le dos aux opinions humaines et à la pression commerciale, sachant avec confiance que l’Entendement, Dieu, me guidait.
Lorsque nous sommes prêts à laisser nos désirs être « modelés et exaltés » par Dieu (Science et Santé, p. 1), et à renoncer aux opinions et aux jugements humains, Dieu, le bien, nous montre le chemin à suivre.
Il n’y a pas de balancement entre des hauts et des bas, il n’y a pas de champ d’action qui s’étende du bien au mal ; juste l’éternelle perfection, la complétude et l’action paisible de l’Entendement.
Le secret de la beauté consiste donc à avoir davantage de Dieu dans notre vie ; non pas que nous puissions accroître la présence de Dieu, qui est infinie, mais parce que nous pouvons toujours mieux reconnaître et accepter cette présence.
Je me suis dit que puisque Dieu ne connaissait pas la mort ni le déclin, je ne pouvais pas les connaître non plus.
Avez-vous parfois l’impression que les idées métaphysiques énoncées par la Science Chrétienne sont compliquées ? Ce n’est là qu’une conception erronée au sujet de la révélation de la Science divine et de la capacité de chacun à la comprendre et à la mettre en pratique.