« A toi, Eternel, la grandeur, la force et la magnificence, l’éternité et la gloire, car tout ce qui est au ciel et sur la terre t’appartient ; à toi, Eternel, le règne, car tu t’élèves souverainement au-dessus de tout ! C’est de toi que viennent la richesse et la gloire, c’est toi qui domines sur tout, c’est dans ta main que sont la force et la puissance, et c’est ta main qui a le pouvoir d’agrandir et d’affermir toutes choses. » (I Chroniques 29:11,12) Cette prière, que fit le roi David lorsqu’il transmit le pouvoir à son fils Salomon, établit une norme élevée pour gouverner une nation.
Ricky s’est souvenu qu’il est entouré par l’amour de Dieu, parce que Dieu est partout. La raison pour laquelle il n’était pas blessé, c’est parce que Dieu ne connaît pas les accidents et qu’Il ne les a pas créés non plus.
Dans le royaume de Dieu, le monde entier est entièrement protégé : toutes les familles et toutes les localités, tous les pays et tous les gouvernements, toute la planète, voire tout l’univers.
Seule la perfection de Dieu et de Sa création devrait demeurer dans nos pensées si nous voulons percevoir clairement l’autorité et la puissance de Dieu dans les événements humains.
J’ai vu que l’amour de Dieu est semblable à l’amour éternel d’une mère pour son enfant, et qu’il inclut la constance et la pureté. Petit à petit, j’ai ressenti cet Amour parfait qui détruit la crainte du handicap physique.
Je me suis aussi demandé : « Si Dieu a protégé Daniel dans la fosse aux lions, ce même Dieu ne peut-il pas nous sauver ? »
Jamais l’Amour divin ne s’épuise, ne se détériore et ne renonce. Il s’agit là du pouvoir qui crée et englobe l’univers.
J’ai réalisé que le conducteur ne pouvait pas me faire de mal. Je lui ai entièrement pardonné, et j’ai été libéré des douleurs physiques, et de toutes les émotions que je ressentais suite à cet événement.
Je pensais que faire la paix signifiait désamorcer les conflits, être un médiateur en cas de désaccords, calmer les esprits froissés…
Je ne devais plus me reposer sur un corps matériel fragile, mais je pouvais m’appuyer sur un soutien permanent, stable, puissant, toujours présent : Dieu. J’ai alors compris que ma seule véritable force était Dieu, et non mon dos.