Je pouvais céder à l’omniprésence et à l’omnipotence de cet unique Entendement divin en détournant mes pensées du moi humain pour les orienter vers Dieu, et en suivant Ses directives.
De plus en plus, je prie pour comprendre comment « suiv[re] le sentier de la Vérité », pensée après pensée, plutôt que de m’efforcer tout bonnement de rester en vie dans une histoire mortelle.
Il n’y a pas de balancement entre des hauts et des bas, il n’y a pas de champ d’action qui s’étende du bien au mal ; juste l’éternelle perfection, la complétude et l’action paisible de l’Entendement.
Je me suis dit que puisque Dieu ne connaissait pas la mort ni le déclin, je ne pouvais pas les connaître non plus.
Je me suis sentie attirée par la prière, et non plus poussée à la pratiquer. Au lieu de me forcer à étudier par obligation, je me suis surprise à attendre ce moment avec une véritable impatience.
Le secret de la beauté consiste donc à avoir davantage de Dieu dans notre vie ; non pas que nous puissions accroître la présence de Dieu, qui est infinie, mais parce que nous pouvons toujours mieux reconnaître et accepter cette présence.
Avez-vous parfois l’impression que les idées métaphysiques énoncées par la Science Chrétienne sont compliquées ? Ce n’est là qu’une conception erronée au sujet de la révélation de la Science divine et de la capacité de chacun à la comprendre et à la mettre en pratique.
Dieu est le seul pouvoir, et ma mère avait le choix – et elle a fait ce choix – de rester fidèle à la vérité. J’avais la capacité, que Dieu confère, d’agir de la même façon.
Comprendre la Vérité divine, Dieu, et Ses lois ne nécessite ni intelligence ni effort personnels. Cette compréhension provient directement de Dieu, la seule intelligence.
Toute pensée qui ne part pas d’une vision divinement inspirée concernant l’existence est erronée, stérile et sans valeur réelle. Ce n’est qu’en partant d’une vision divine de l’univers – et en y restant – que nous modifions l’équation de l’action.