L’Eglise, en tant qu’idée spirituelle et éternelle, devient tangible au travers de la continuité ininterrompue de l’institution humaine – une institution qui, lorsqu’elle est bien comprise, est aussi invulnérable face au déclin que l’idée spirituelle qui l’anime.
L’acte d’écrire – de raisonner de manière scientifique et chrétienne, puis de coucher sur le papier les idées spirituelles qui me venaient – me permettait de rester attentive, en prière, aux besoins du monde et de contribuer à y répondre en élevant et en guérissant d’abord ma pensée.
Tout ce que nous vivons est dans notre pensée et nulle part ailleurs, même l’univers et le monde qui nous entoure ! La pensée n’est pas dans le corps ; le corps est dans la pensée.
L’Amour divin ouvre toutes les voies et dégage tous les canaux, éliminant tout ce qui semblerait obstruer le flux du bien qui émane de Dieu vers Sa création.
Les prières de mon amie ne reconnaissaient aucune possibilité d’échec, car Dieu, la Vérité, est toujours juste, et l’expression de Dieu, l’homme, toujours intègre.
J’étais remplie de gratitude et de joie. Alors que nous rentrions en voiture à la maison, j’ai réalisé que j’allais parfaitement bien.
Après avoir étudié la leçon pendant la semaine, nous venons au service chaque dimanche, avec humilité et obéissance, prêts à remplir notre mission unique, à savoir pratiquer la guérison chrétienne.
Lorsque nous prions, nous pouvons déclarer catégoriquement que les « lois » du vieillissement et de la décrépitude sont rendues nulles et non avenues par la loi de Dieu, l’Entendement infini.
J’ai pu détourner ma pensée de l’idée que je me trouvais dans un espace où j’avais besoin de protection, et reconnaître que je me trouvais dans le royaume de l’Amour divin, en compagnie des enfants de Dieu, mes frères et sœurs spirituels.
Mon étude de la Science Chrétienne m’a aidé à comprendre que, puisque Dieu est Tout et qu’Il est entièrement bon, dès maintenant et pour toujours, le mal n’a ni passé, ni présent, ni futur.