Je savais que ma paix et mon autorité venaient directement de Dieu, l’unique Entendement et la source de toute vie et de toute intelligence. On ne pouvait ni les ébranler ni me les enlever.
Quand, telle une mère, le Christ nous réveille du cauchemar du péché et de la maladie, nous discernons la futilité et l’impossibilité totales du mal, et l’importance, la présence, le pouvoir et la vérité éternels du bien.
L’église établie par Jésus repose sur un fondement de transformation et de guérison spirituelles, ce qui me fait mieux comprendre sa raison d’être.
Durant le service, j’avais retrouvé mes facultés mentales et la maîtrise de la parole.
Quand Dieu parle, nous pouvons répondre en sachant que, si les paroles seules ne guérissent pas, notre être réel nous est révélé, et que Dieu nous donne la capacité de le comprendre, d’en faire l’expérience et donc de nous réjouir de la guérison.
J’ai réalisé que ce qui manquait, c’était l’amour en soutien de mes prières. Je devais me souvenir de l’amour que Dieu a pour moi, et laisser l’Amour, Dieu, élever à la fois ma prière et mes pensées.
En étudiant la Science Chrétienne, j’ai fini par comprendre que Dieu répond aux besoins de chacun, comme en témoignent les histoires d’Agar et de la femme qui avait trouvé le doublon d’or.
Une fois que la base spirituelle de l’existence de l’homme a été établie dans ma pensée, nous avons dénoncé et rejeté tout ce qui n’était pas spirituel, comme la corporalité et l’impureté, car rien d’autre que le bien ne peut faire partie de l’image et de la ressemblance de Dieu.
Mon gendre nous a dit que nous avions reçu l’ordre d’évacuer le plus tôt possible. J’ai continué d’affirmer que Dieu maintenait Sa création parfaite. Je n’avais pas peur.
Tant la gêne que la claudication ont instantanément disparu. J’ai pu immédiatement me tenir droit et marcher sans douleur.