J’ai réalisé que ce qui manquait, c’était l’amour en soutien de mes prières. Je devais me souvenir de l’amour que Dieu a pour moi, et laisser l’Amour, Dieu, élever à la fois ma prière et mes pensées.
En étudiant la Science Chrétienne, j’ai fini par comprendre que Dieu répond aux besoins de chacun, comme en témoignent les histoires d’Agar et de la femme qui avait trouvé le doublon d’or.
Une fois que la base spirituelle de l’existence de l’homme a été établie dans ma pensée, nous avons dénoncé et rejeté tout ce qui n’était pas spirituel, comme la corporalité et l’impureté, car rien d’autre que le bien ne peut faire partie de l’image et de la ressemblance de Dieu.
Mon gendre nous a dit que nous avions reçu l’ordre d’évacuer le plus tôt possible. J’ai continué d’affirmer que Dieu maintenait Sa création parfaite. Je n’avais pas peur.
Tant la gêne que la claudication ont instantanément disparu. J’ai pu immédiatement me tenir droit et marcher sans douleur.
Dans son Sermon sur la montagne, Christ Jésus dit qu’il faut avoir un œil en bon état, ce que j’interprète comme signifiant que nous devons remplir notre pensée de ce qui est vrai et refuser ce qui est faux.
Toutes les questions que je m’étais posées concernant Dieu trouvaient une réponse, jusqu’à ce qu’il ne reste plus un seul doute concernant Son existence.
L’Esprit m’a créée, je suis donc spirituelle, et non une mortelle vulnérable composée d’éléments matériels qui peuvent être abîmés ou détériorés. Ma véritable identité est intacte, complète et parfaite.
Dans mon étude de la Science Chrétienne, j’avais appris que « la matière n’est rien », mais je n’avais jamais considéré que « rien n’est matière ».
Prenons le temps de communier seul avec l’Amour, à la maison, au travail, dans un parc ou au bord d’un lac. Mais sortons aussi de notre chambre avec un cœur si plein d’amour qu’il est impossible de ne pas partager cet amour.