2024
Elever la pensée depuis un sens humain de pitié jusqu’à la compassion du Christ m’a permis de voir au-delà des limites supposées des élèves et de les aider à progresser. Eux et moi avons été témoins de merveilleux changements.
Quand on nous demande de l’aide, nous pouvons l’apporter en toute confiance ; en effet, l’expérience m’a appris que Dieu nous soutient, et que nous pouvons accomplir sans crainte tout ce qu’il est nécessaire de faire avec la certitude de la guérison.
C’est avec une immense joie que je donne ce témoignage, car cette expérience m’a incitée à rejoindre le Service des nurses de la Science Chrétienne, qui soutient le nursing en Science Chrétienne dans ma région.
Je suis très reconnaissante de partager le témoignage suivant, qui m’a aidé à comprendre l’effet thérapeutique de la victoire sur la peur.
Le Christ, la Vérité, détruit tout ce qui pourrait masquer la vitalité de l’Eglise et la joie qu’elle procure.
Le rôle de bibliothécaire est d’indiquer le chemin vers le Christ, la Vérité, le chemin qui mène à la guérison. Heureusement, ce travail ne se fait pas seul. Il s’appuie sur la Parole de Dieu.
J’ai réalisé que la « pensée d’Absalom » tente de s’interposer entre l’homme et Dieu, essayant d’usurper la fonction du Christ, qui parle à la conscience humaine et répond aux besoins humains. La salle de lecture n’est pas un endroit pour Absalom !
La découverte de Mary Baker Eddy était révolutionnaire car elle présentait une vision radicalement différente de la matière : celle-ci était la formation subjective de la conscience humaine.
La Science Chrétienne est une Science parce qu’elle est compréhensible, démontrable et cohérente.
On ne s’efforce pas de rendre la Science Chrétienne efficace, mais de comprendre et de ressentir la Vérité irrésistible qu’elle révèle.