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Mary Baker Eddy et la science

Du Héraut de la Science Chrétienne. Publié en ligne - 11 janvier 2024


Dans la préface de Science et Santé avec la Clef des Ecritures, qui expose la Science divine de la guérison-Entendement que Jésus pratiquait, Mary Baker Eddy écrit : « Il appartient aux siècles à venir de proclamer ce qu’aura accompli le pionnier. » (p.vii) Cette collection d’articles hors-série aborde la façon dont la vie et les idées de cette femme hors du commun ont montré le chemin, et continuent de le faire, pour atteindre au progrès individuel et collectif qui mène vers l’Esprit.


Tout au long de son histoire, l’humanité s’est attachée profondément à comprendre la nature et la cause de l’existence ; et aujourd’hui, la recherche scientifique seule a la réputation d’offrir des réponses fondées sur des preuves cohérentes. Même si la définition moderne de la science fait encore l’objet de nombreux débats, elle sera toujours définie comme une connaissance démontrée et fondée sur des principes.

A bien des égards, la découverte spirituelle faite par Mary Baker Eddy en 1866 et révélée au monde dans un livre paru en 1875 semble être plutôt en contradiction avec la science moderne. Mais dans ce livre, Science et Santé – plus tard intitulé Science et Santé avec la Clef des Ecritures –, elle n’a pas hésité à qualifier sa découverte de Science. Elle l’explique ainsi : « La Science Chrétienne diffère de la science matérielle, mais elle n’en est pas moins scientifique. Au contraire, la Science Chrétienne est éminemment scientifique, étant fondée sur la Vérité, le Principe de toute science. » (p. 123-124) Dans cet énoncé, et tout au long de ses écrits, Mary Baker Eddy a présenté à l’humanité un enseignement qui est un affront, à la fois théologique et scientifique, à la croyance enracinée et presque universelle dans la vie, la substance et le pouvoir de guérison de la matière.

Qu’est-ce qui la rendait si sûre de ce fait ? Et comment a-t-elle eu le courage moral de le dire à une époque où les possibilités pour les femmes de s’engager dans le débat public étaient sérieusement limitées ?

C’est son amour de l’Esprit, Dieu, et des enseignements de Christ Jésus qui a renforcé sa profonde conviction que la Science Chrétienne était une révélation de Dieu. Elle a compris que cette révélation était le Consolateur, ou « l’Esprit de vérité », dont Jésus a promis qu’il enseignerait « toutes choses » et témoignerait du Christ toujours présent qui guérit (voir Jean, chap. 14 et 15).

Elle savait que chacune des remarquables guérisons de maladies physiques et mentales opérées par Jésus prouvait la vérité qu’elle avait découverte : la totalité de l’Entendement, de l’Esprit, Dieu, et le néant de la matière. Cette vérité des plus profondes était également la compréhension scientifique vitale sur laquelle reposaient de nombreuses autres démonstrations extraordinaires de Jésus, telles que le fait de calmer une tempête, de marcher sur l’eau et de déplacer instantanément un bateau vers le rivage. Sa résurrection était une preuve absolue pour l’humanité que la vie n’est pas dans la matière, mais qu’elle est éternelle dans l’Esprit.

Même si Mary Baker Eddy n’avait aucun doute sur la véracité de sa découverte, elle comprenait que le monde n’était pas encore prêt à l’accepter de manière universelle. « Nous sommes au sein d’une révolution », a-t-elle déclaré dans un sermon intitulé La guérison chrétienne, prononcé en 1880 ; « La physique cède lentement à la métaphysique ; l’entendement mortel se révolte contre ses propres limites ; las de la matière, il voudrait saisir la signification de l’Esprit. » (p. 11) La découverte de Mary Baker Eddy était révolutionnaire car elle présentait une vision radicalement différente de la matière : celle-ci était la formation subjective de la conscience humaine.

Elle avait vécu et compris que, ainsi qu’elle le dit : « [...] la spiritualisation de la pensée détruit tout sens de matière en tant que substance, Vie ou intelligence, et intronise Dieu au sein des qualités éternelles de Son être. » (Unité du Bien, p. 32) Et c’est ainsi que sa découverte a lancé la plus profonde révolution scientifique de la pensée, impulsée par Dieu, que l’humanité ait jamais connue.

En 1962, Thomas Kuhn a publié son œuvre maîtresse, La structure des révolutions scientifiques, dans laquelle il a inventé l’expression désormais bien connue de « changement de paradigme », qui décrit un changement fondamental d’hypothèses et de pratiques dans le cadre du développement de la science. Les découvertes-clés réalisées par des individus ayant entrepris des recherches scientifiques extraordinaires sont à l’origine de presque toutes les révolutions scientifiques. A mesure que la recherche scientifique progresse inexorablement, des preuves anormales, incompatibles avec le paradigme dominant – paradigme généralement incontesté –, commencent lentement à apparaître. Si un nouveau paradigme permet d’expliquer les anomalies, constituant inévitablement une meilleure explication, alors une « bataille pour son adoption », écrit Kuhn (p. 124[FSC1] [CH2] [MS3] ) sera engagée. C’est un combat pour la survie du plus fort et, d’un point de vue métaphysique, cela signifie que la vérité scientifique prévaudra in fine.

Pendant de nombreuses années, Mary Baker Eddy a entrepris une recherche sincère de la source spirituelle de la santé ; elle a « essayé de rapporter tous les effets physiques », dit-elle, « à une cause mentale » (Rétrospection et Introspection, p. 24). Cette recherche a culminé dans un moment d’extrême nécessité humaine consécutif à une chute. Après trois jours de souffrance, alors qu’elle se tournait vers sa Bible et vers Dieu, elle a fait l’expérience d’une guérison immédiate de la grave blessure qu’elle avait subie, une guérison qu’elle a comparée à la chute de la pomme dont Newton avait été témoin.

Sa guérison lui a permis de comprendre bien plus profondément comment l’Esprit guérit. Elle a écrit plus tard : « Il y avait dans cette brève expérience une lueur de la grande vérité que j’ai cherché depuis à rendre claire aux autres, savoir la Vie dans l’Esprit et de l’Esprit, cette Vie étant la seule réalité de l’existence. » (Ecrits divers 1883-1896, p. 24)

Cette expérience a révélé à Mary Baker Eddy que l’existence est entièrement mentale, même s’il lui a fallu un certain temps pour comprendre pleinement ce qu’elle avait découvert. Elle savait que la matière, ou la chair, n’est pas le produit de l’Esprit – une vérité fondée sur les paroles de Jésus : « Ce qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l’Esprit est esprit. » (Jean 3:6) L’Esprit infini – exprimé spirituellement à travers la création dans toute individualité, forme, couleur et contour – était pour Mary Baker Eddy la véritable substance et la réalité. La conscience n’est pas produite dans la matière ou par elle, mais elle est dans et de l’Esprit, l’Entendement divin infini, Dieu.

La matière lui a donc été révélée comme étant seulement la forme finie et subjective d’une conscience supposée qu’elle a appelée entendement mortel, parce que c’est la croyance trompeuse, produite par soi-même, dans une vie séparée de Dieu, où l’opposé de l’Esprit entièrement bon semble réel. Mais la matière, n’ayant aucune part dans la Vérité éternelle, est incapable d’être intelligente et ne peut donc pas édicter les lois qui gouvernent l’univers, guérir l’homme ou créer la conscience.

Cela répond à l’une des questions les plus déconcertantes qui aient été posées par la science aujourd’hui, communément appelée le « difficile problème de la conscience ». En Science Chrétienne, la matière est une formation de l’entendement mortel, et l’Entendement éternel, Dieu, prend la place qui lui revient en tant que cause suprême. Cette cause spirituelle produit un changement dans l’univers physique à mesure que la matière cède à l’Esprit. Exclure une cause spirituelle ou mentale de nos hypothèses fondamentales – ce que la science physique tente de faire – revient à exclure le Principe unique de toute réalité et de tout effet véritable. La Science Chrétienne déclare que sans ce Principe divin – qui est l’Amour infaillible, immuable et éternel – la création s’effondrerait : « Toute vraie Science représente une force morale et spirituelle, qui maintient la terre dans son orbite. » (Mary Baker Eddy, Rudiments de la Science divine, p. 4)

La physique est l’une des sciences les plus élémentaires et les plus globales, sinon la plus globale. Elle affecte profondément la perception qu’a la société de la nature de la réalité et de l’univers, et elle est fondamentale pour tout développement scientifique dans les domaines de l’ingénierie, de l’industrie et de la médecine. A la fin du XIXe siècle et au début du XXe, les progrès de la physique ont commencé à révéler le caractère incertain et vide de la matière, culminant en 1913 avec le modèle atomique de Rutherford-Bohr. Selon ce modèle, toute la masse est contenue dans un noyau comparable à la taille d’un grain de sable dans un terrain de football. Par une coïncidence frappante, la découverte radicale par Mary Baker Eddy du néant de la nature essentielle de la matière – en ce sens qu’elle n’est pas la substance éternelle de la réalité – a précédé ces progrès de la physique. Cela suggère que l’avènement et la preuve de ses idées ont été un levain spirituel ayant eu un impact sur ce développement scientifique.

Ces découvertes-clés de la physique ont rapidement conduit à l’établissement de la mécanique quantique, qui a mis en lumière l’influence de l’observateur sur l’objet observé. Après plus d’un siècle de recherches qui ont continué à laisser perplexe la communauté des physiciens, une implication largement répandue établit que le monde que nous percevons n’est pas révélé par l’observation matérielle ou la conscience, mais créé par elles.

La mécanique quantique a également conduit à ce qui était sans doute l’une des avancées scientifiques les plus révolutionnaires au monde. Sous la pression que l’Allemagne nazie y parvienne en premier, les Etats-Unis ont rassemblé des physiciens et des ingénieurs pour développer la bombe atomique, la première bombe ayant explosé lors d’un essai dans le sud-ouest des Etats-Unis le 16 juillet 1945. Jamais la nature autodestructrice de la matière n’est devenue si évidente, ainsi que Mary Baker Eddy l’avait prévu. Mais elle voyait aussi que cette tendance conduirait finalement à reconnaître et à prouver son irréalité. Elle a écrit : « Plus la matière deviendra destructive, plus son néant sera révélé, jusqu’à ce que la matière atteigne son zénith mortel dans l’illusion et disparaisse pour toujours. » (Science et Santé, p. 97)

Avec sa théorie révolutionnaire de la relativité, Albert Einstein, le physicien le plus éminent du XXe siècle, a rompu avec la vision traditionnelle de l’espace et du temps fixes et absolus. Pour la physique moderne, les concepts d’« infini », d’« éternel » et de « maintenant » sont devenus de moins en moins applicables à la matière et au temps. Le physicien quantique Carlo Rovelli dit : « La nature semble nous dire [...] qu’il n’y a rien [...] de vraiment infini. » (Par-delà le visible, p. 233) Il dit également : « L’idée qu’il existe un maintenant bien défini partout dans l’univers est donc une illusion, une extrapolation illégitime de notre expérience. » (L’ordre du temps, p. 59)

Mary Baker Eddy s’était également éloignée de la vision traditionnelle d’un état stable de l’univers physique en définissant la matière, qui est l’opposé de l’Esprit éternel et infini, comme étant éphémère, finie, voire illusoire, et enracinée dans l’incertitude. Elle a même défini le temps comme « matière » (voir Science et Santé, p. 595). Il semble que la physique ait enfin commencé à l’accepter.

Et les scientistes chrétiens ont modestement prouvé le caractère non substantiel de la matière et du temps – construisant même un ensemble de preuves à l’appui de la découverte de Mary Baker Eddy – grâce à des dizaines de milliers de témoignages de guérison qui défient toute explication physique, et qui sont souvent comparables aux types de guérisons démontrées par Jésus. Outre la liste des maladies dites incurables qui ont été guéries, depuis l’épilepsie jusqu’à la sclérose en plaques, des exemples plus extraordinaires de guérison ont concerné les fractures, certaines se produisant en quelques jours, quelques heures, voire instantanément (par exemple, voir William D. Ansley, « Des guérisons obtenues par la chirurgie mentale », Héraut-Online, 24 octobre 2019).

La découverte et l’établissement de la Science Chrétienne se sont produits en même temps que d’énormes progrès technologiques. Entre 1876 et 1903, le téléphone a été breveté pour la première fois, l’électricité a été exploitée pour un usage urbain et les automobiles et les avions à essence ont été développés, pour n’en nommer que quelques-uns. Interprétés métaphysiquement, ceux-ci indiquent que l’humanité dépasse les entraves de la matérialité pour se diriger vers une plus grande liberté de mouvement et de communication. Non seulement les mortels sont sortis des ténèbres mentales pour entrer dans la lumière spirituelle, mais ce progrès de la pensée a trouvé une expression symbolique dans l’invention par Thomas Edison en 1879 de la première ampoule à incandescence commercialement viable.

A cette époque, Mary Baker Eddy écrivait : « Ce siècle cherche à atteindre le Principe parfait des choses ; il s’efforce d’arriver à la perfection dans les domaines de l’art, de l’invention et de l’industrie. Pourquoi donc la religion devrait-elle être stéréotypée, et pourquoi n’obtiendrions-nous pas un christianisme plus parfait et plus pratique ? » (Ecrits divers, p. 232) Elle a clairement reconnu que le désir d’excellence, associé à une recherche infatigable, à une intégrité et à une intelligence souvent exprimées dans les sciences, contribuait non seulement au progrès pratique mais aussi à la spiritualisation de la pensée. Interrogée sur « la recherche des inventions matérielles modernes » dans une interview accordée au New York Herald en 1901, elle a répondu : « Elles tendent toutes vers des façons de vivre nouvelles, meilleures, plus éthérées. Elles recherchent les essences épurées. Elles éclairent le chemin qui mène à l’Eglise du Christ. » (La Première Eglise du Christ, Scientiste, et Miscellanées, p. 345)

Même si Mary Baker Eddy reconnaissait clairement la valeur de ces inventions, dans la même interview, elle qualifiait spécifiquement une science de « fausse science » : la « guérison par les médicaments » (Miscellanées, p. 345). Sa découverte avait révélé la nature mentale de la réalité et, au travers de ses propres expériences avec l’homéopathie et l’effet placebo, elle avait appris que le seul pouvoir de guérison d’un médicament ou d’une méthode hygiénique réside dans la foi qu’on lui accorde. Elle considérait que cette foi mal orientée privait l’homme de sa confiance naturelle et complète en Dieu, l’Entendement tout-puissant, pour guérir. Le prétendu développement scientifique et l’usage de médicament augmentent donc la foi de l’humanité dans la matière, alors que le besoin universel est de diminuer cette foi en augmentant la confiance dans la réalité de Dieu, et la preuve de cette réalité.

De même, l’hypnotisme (de plus en plus respecté par la médecine moderne selon un article du magazine New Scientist du 9 novembre 2019 intitulé « The healing power of your mind » [Le pouvoir de guérison de votre esprit]) est une pratique dénoncée dans les écrits de Mary Baker Eddy. Dans la Science Chrétienne, qui repose uniquement sur le pouvoir de guérison de l’Entendement divin, les effets apparents de l’hypnose ne sont rien d’autre que l’imagination illusoire de l’entendement mortel. Les médicaments, l’hygiène et l’hypnotisme séduisent de manière trompeuse l’entendement humain parce qu’ils prétendent guérir, mais Mary Baker Eddy a affirmé « qu’ils ne guérissent pas, mais ne font que soulager temporairement la souffrance [...] » (Science et Santé, p. 483).

Il convient également de noter que la découverte de Mary Baker Eddy est intervenue au moment charnière de l’histoire où Charles Darwin publiait ses ouvrages majeurs : L’origine des espèces (1859) et La descendance de l’homme (1871). Les théories de Darwin ont donné de la crédibilité à l’hypothèse selon laquelle l’homme était né d’une matière auto-créée, et même que l’univers n’avait pas besoin de Dieu, de l’Esprit, pour l’expliquer ou le créer. Mary Baker Eddy, qui a abordé les théories de Darwin dans son propre livre, a adopté un point de vue diamétralement opposé.

En se basant sur son étude des Ecritures et sur ses démonstrations de guérison, elle comprenait que Dieu avait créé un univers entièrement spirituel et éternel, ce qui incluait la perfection ininterrompue de l’homme spirituel, créé à l’image de Dieu, tel que le décrit le premier chapitre de la Genèse. Un peu comme le prophète Elie, Mary Baker Eddy a décrit le choix qui devait être fait, et elle a exposé succinctement les paradigmes scientifiques opposés : « Seule une des propositions suivantes peut être vraie : 1° tout est matière ; 2° tout est Entendement. Laquelle est-ce ? » (Science et Santé, p. 270)

Tout cela peut sembler profondément métaphysique, et pourtant la métaphysique – la manière dont nous définissons et interprétons la réalité et toutes les preuves empiriques – est essentielle à la science. Découvrir la nature de la réalité par les méthodes de la science moderne est un problème qui a été profondément étudié par Max Planck, l’un des pères fondateurs de la physique quantique, qui a déclaré en 1932 : « La science ne peut pas résoudre le mystère ultime de la nature. Et c’est parce que, dans la dernière analyse, nous faisons nous-mêmes partie de la nature et donc du mystère que nous essayons de résoudre. » (Where Is Science Going ? [Où va la science ?], p. 217)

Une conséquence de la perspicacité de Max Planck est que nous avons besoin d’une source, ou d’une intelligence, au-delà de l’entendement humain pour enfin résoudre le « mystère ultime ». Mary Baker Eddy aurait été tout à fait d’accord avec cette affirmation, car elle avait déjà déclaré que « pour sa rédemption et sa guérison, l’entendement humain fini et faillible a absolument besoin de quelque chose au-delà de lui-même. » (Science et Santé, p. 151) Elle pouvait écrire ces mots sur la base de son expérience – elle avait elle-même eu besoin de cette source et avait découvert qu’il s’agissait de l’Entendement divin, Dieu. Cela rappelle la manière dont sa découverte et son énonciation de la Science Chrétienne sont venues à elle par une révélation divine – établissant ainsi que « le mystère de Dieu s’accomplirait » (Apocalypse 10:7).

L’humanité est prête pour une révolution scientifique, passant de la croyance que la matière est substance à une acceptation universelle que la réalité – y compris la véritable identité de l’homme – est dans l’Esprit. Einstein (qui, vers la fin de sa vie, s’intéressa dans une certaine mesure à l’enseignement de Mary Baker Eddy) aspirait à une théorie unifiée pour la physique moderne. Mais cette science nouvelle, bien qu’ancienne, est déjà là, et ce n’est pas seulement une unification de la science, mais une unification de la science, de la théologie et de la médecine en une seule explication scientifique et divine, complète et satisfaisante. Non seulement pour la nature de la réalité, mais aussi pour la guérison et la rédemption complètes de l’humanité.

Dans son livre paru en 2006, Rien ne va plus en physique !, le physicien théoricien américain Lee Smolin a déclaré : « Lorsqu’il s’agit de révolutionner la science, ce qui compte c’est la qualité de la pensée, et non la quantité de vrais croyants. » (p. 255 de l’édition anglaise) Nous pouvons penser aux nombreuses grandes personnalités ayant contribué à cette quête – d’Archimède à Einstein – mais pour ceux qui mettent en pratique la Science Chrétienne, il semble inévitable que l’histoire finisse par reconnaître et honorer l’importance cruciale de la contribution de Mary Baker Eddy à la compréhension scientifique de la réalité par l’humanité. La révolution de la pensée qu’elle a enclenchée avec sa découverte de la Science Chrétienne, initiée et entraînée par un Entendement parfait, a un but essentiel : la révélation de la seule et unique Science divine, pour que toute l’humanité puisse la comprendre et la mettre en pratique. Celle-ci est engendrée par l’Amour inconditionnel, le Principe unique et parfait, qui inaugure l’inévitable millénium.

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