2024
Mon étude de la Science Chrétienne m’a montré qu’en tant qu’enfants de Dieu, nous reflétons tous Dieu, qui est l’unique Entendement ou Ego. Ainsi, il n’existe pas d’ego humain qui puisse être épuisé. Notre véritable source est Dieu, qui est infini.
A travers sa longue histoire de guérisons, à la fois moderne et biblique, la Science du Christ a prouvé – et par la grâce parfaite de Dieu, elle le prouvera de manière définitive – que c’est la Science divine éternellement vraie qui est la plus digne de notre confiance absolue.
Pour se libérer des hivers dangereux, des étés étouffants et des inondations imprévisibles, il convient d’examiner en premier lieu le climat que l’on entretient dans sa propre conscience.
Grâce au Christ, nous pouvons rejeter le cynisme qui nous est imposé par le monde matériel pour exprimer notre confiance spirituelle innée, et nous attendre à ce qui est bon sur cette base spirituelle, pour notre bien et celui du monde.
Dieu est bon. Dieu n’a jamais créé aucun mal d’aucune sorte, y compris la maladie. J’ai nié que mon corps ait été attaqué par un virus. Le seul pouvoir est Dieu, le bien.
Alors que je continuais à garder la porte de ma pensée, j’ai commencé à me sentir beaucoup plus heureuse. L’histoire que j’avais entendue ne m’affectait plus et je me sentais en paix.
Nous nous appuyons sur le Dieu tout-puissant, tout-aimant et toujours présent comme étant la véritable source de notre sécurité.
Paru d'abord sur notre site le 4 novembre 2024.
Bien entendu, il est important de réfléchir et de prier pour élire ses dirigeants, mais il est essentiel de ne pas les considérer comme détenteurs d’un pouvoir en dehors de Dieu. Il n’y a qu’un seul Dieu, totalement impartial, d’un amour sans limite et toujours efficace.
Paru d'abord sur notre site le 28 mars 2024
Puisse l’eau pure de l’Amour couler librement dans notre conscience, nettoyant le regard que nous portons sur nous-mêmes et sur tous ceux qui se présentent à notre pensée !
Paru d'abord sur notre site le 18 avril 2024
Original en espagnol
Le mercredi suivant, je suis allée chez ma mère. En voyant mon visage, elle s’est exclamée : « Il n’y a rien du tout ! »