2024

Ainsi, si l’on attend pour avoir quelque chose dont on pense manquer, il est bien plus utile d’être ouvert et de s’attendre à Dieu, qui a déjà répondu au besoin, même si on ne l’a pas encore compris ni perçu.

Mon mari a appartenu, à deux reprises, à une force internationale de maintien de la paix. Pendant les périodes où il était absent, j’ai appris à confier sa protection à Dieu, ainsi que la mienne et celle de nos enfants.

La paix qui m’a envahi est restée et m’a aidé dans toutes mes activités, qu’il s’agisse d’enseigner en classe, de jouer sur scène ou de peindre en atelier.

J’ai reconnu que j’étais entièrement spirituel et que la perfection ne varie jamais. Pourquoi ? Parce que Dieu « vit tout ce qu’il avait fait ; et voici, cela était très bon » (Genèse 1:31).

En écoutant l’actualité ces jours-ci, nous pourrions être consternés par le nombre de problèmes auxquels nous sommes confrontés, notamment les guerres, les conditions météorologiques extrêmes, les crises migratoires et les conflits politiques…

Il existe un Dieu infini qui nous dispense, à nous Sa création spirituelle, des soins constants. Par conséquent, il n’existe aucun pouvoir ni aucune autorité réelle à même de renverser le bien que Dieu donne.

Je n’attendais pas une sorte d’intervention divine, mais j’avais simplement besoin de devenir réceptive au bien divin toujours présent qui se déverse à flot sur nous, ce que j’ai apprécié encore plus lorsque j’ai quitté la « maison » de la pensée limitée.

A chaque fois que tu penses à Dieu et au bien qu’Il a créé, tu es en train de prier.

Dieu est Esprit, donc toutes Ses expressions sont spirituelles et demeurent sous la protection impénétrable du royaume infini de l’Amour, de l’Entendement et de l’Esprit. Il n’existe aucun espace en dehors de ce royaume, et a fortiori aucun lieu où Dieu autoriserait le mal à exister ou à agir.

Je savais que je devais simplement m’en tenir à ce qui est – un Dieu infini, infiniment bon, présent et puissant, et Sa création bien-aimée à laquelle j’appartenais – plutôt que de me demander : « Et si ? ».