La persévérance, ou la capacité de « continuer à continuer », est une bonne chose. Mais lorsque c’est uniquement la volonté qui propulse nos efforts, elle peut facilement s’avérer insuffisante. Un article en ligne parlait de la volonté comme d’une batterie, la qualifiant de « ressource limitée ; une ressource qui ne peut être utilisée que dans une certaine mesure avant de devoir être rechargée » (« You can crash », [Tu peux être vidé] medium.com, 9 septembre 2023). Cette pensée est décourageante. Elle implique que, même si nous nous sentons pleinement rechargés au début d’un projet, nous pouvons nous attendre à nous sentir fatigués, vidés, à un moment donné.
Mais j’ai appris en étudiant la Science Chrétienne que nous ne sommes pas une sorte de batterie humaine qui ne peut fonctionner que pendant une période de temps limitée. Dieu est la source – et nous sommes l’expression sans effort – de l’énergie, de la force et de l’endurance. C’est un peu comme la différence qu’il y a entre puiser dans les réserves d’une batterie et être alimenté par le soleil. Le second est illimité, continu et autonome, tandis que le premier ne l’est pas.
J’avoue que je travaille encore à démontrer cette distinction. Récemment, cependant, j’ai prié pour mieux comprendre et mettre en pratique ce que l’apôtre Paul appelle « la persévérance à bien faire » (Romains 2:7). Alors que l’endurance forcée et la tolérance au stress ne suffisent pas, la « persévérance » est la base du véritable succès, même face à des obstacles majeurs.
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