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Nous pouvons être reconnaissants à Dieu quand tout va bien. Et, si nous rencontrons un problème, nous pouvons là aussi être reconnaissants à Dieu de prendre soin de nous et de nous aider à trouver la guérison.

Cette expérience de guérison m’a montré l’inutilité d’une interprétation et d’un diagnostic mortels de la réalité.

J’ai prié avec « l’exposé scientifique de l’être » que l’on trouve dans Science et Santé (p. 468), en y réfléchissant ligne par ligne jusqu'à ce que je m’endorme paisiblement. A mon réveil, les deux problèmes étaient complètement guéris.

« La seule conclusion logique est que tout est Entendement et sa manifestation, depuis la révolution des mondes dans l’éther le plus subtil jusqu’à un carré de pommes de terre. » (Mary Baker Eddy, Ecrits divers 1883-1896, p. 26)

Dans son Sermon sur la montagne, Christ Jésus nous ordonne d’aimer nos ennemis. Il n’est pas question de faire un choix ou d’attendre que les circonstances deviennent favorables.

Grâce à l’exemple de Jésus, j’ai su que les périodes de découragement ne pouvaient pas m’empêcher de prouver que je pouvais obtenir un emploi convenable et épanouissant.

Chaque fois que nous sommes face à une situation difficile, il est possible de « déposer sur l’autel » tout sens d’ego, lequel suppose que l’on ne peut compter que sur soi-même, et de céder au fait spirituel que nous sommes guidés par Dieu à chaque instant.

Refusons d’accepter que la souffrance, et tout ce qui ne provient pas de Dieu, nous appartienne en propre lorsque nous pensons porter notre croix, parce que le Christ enlève et efface tout ce que Dieu ne donne pas.

Dieu ne crée que la perfection spirituelle. Et cela inclut la capacité d’exprimer sans effort l’ordre, l’harmonie et l’intelligence parfaits de Dieu.

Je suis très reconnaissante de partager le témoignage suivant, qui m’a aidé à comprendre l’effet thérapeutique de la victoire sur la peur.