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Si Dieu, le bien, est Tout, alors il n’y a pas de place pour l’enfer. En réalité, aucune personne ni aucune conscience ne peut être condamnée à souffrir, parce que toute notre existence se déroule dans le royaume de Dieu, dans lequel nous sommes spirituels, joyeux et libres.
Il est clair pour moi aujourd’hui qu’étudier la Bible et Science et Santé a été l’étape la plus efficace pour surmonter – et guérir définitivement – les pensées et les habitudes anorexiques.
Lorsque nous faisons briller humblement la lumière de la Vérité dans l’obscurité des croyances matérielles, nous voyons la vérité concernant la situation.
Paru d'abord sur notre site le 14 octobre 2024.
Si une pensée te tente, demande-toi si elle est bonne. Si ce n’est pas le cas, tu n’as pas à l’écouter. A la place, nous pouvons écouter ce que Dieu nous dit.
Au lieu de croire que trouver une solution à un problème relève de notre responsabilité, nous pouvons nous tourner de tout cœur vers Dieu et écouter Ses anges.
A ce moment-là, j’ai décidé d’accueillir en toute conscience tous les enfants de Dieu dans notre école du dimanche. Depuis, notre école du dimanche s’est peu à peu développée et nous accueillons aujourd’hui plusieurs élèves chaque semaine.
Mon désir de mieux laisser transparaître la Vérité a été comblé par une guérison complète, ce qui a mis un terme à cette opinion erronée vieille de plusieurs décennies selon laquelle je n’avais rien d’important à dire.
J’ai fait moi-même amende honorable, m’étant débarrassé de la croyance que les vendeurs auraient pu me tromper ou être malhonnêtes. J’ai compris que je pouvais toujours m’efforcer de voir toute l’humanité, y compris ces personnes, comme des enfants de Dieu honnêtes, bons et parfaits.
J’ai prié chaque jour pour être guidée par Dieu. Les preuves de la sollicitude de Dieu sont apparues peu à peu, et j’ai acquis une confiance absolue en mon Père céleste.
Je ne voyais pas de solution évidente, alors j’ai humblement demandé à Dieu de me dire ce que je devais faire. La réponse est venue presque aussitôt : « Pardonne ! »