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Refusons d’accepter que la souffrance, et tout ce qui ne provient pas de Dieu, nous appartienne en propre lorsque nous pensons porter notre croix, parce que le Christ enlève et efface tout ce que Dieu ne donne pas.
Grâce à l’exemple de Jésus, j’ai su que les périodes de découragement ne pouvaient pas m’empêcher de prouver que je pouvais obtenir un emploi convenable et épanouissant.
Je suis très reconnaissante de partager le témoignage suivant, qui m’a aidé à comprendre l’effet thérapeutique de la victoire sur la peur.
C’est avec une immense joie que je donne ce témoignage, car cette expérience m’a incitée à rejoindre le Service des nurses de la Science Chrétienne, qui soutient le nursing en Science Chrétienne dans ma région.
Quand on nous demande de l’aide, nous pouvons l’apporter en toute confiance ; en effet, l’expérience m’a appris que Dieu nous soutient, et que nous pouvons accomplir sans crainte tout ce qu’il est nécessaire de faire avec la certitude de la guérison.
Elever la pensée depuis un sens humain de pitié jusqu’à la compassion du Christ m’a permis de voir au-delà des limites supposées des élèves et de les aider à progresser. Eux et moi avons été témoins de merveilleux changements.
J’ai réalisé que la « pensée d’Absalom » tente de s’interposer entre l’homme et Dieu, essayant d’usurper la fonction du Christ, qui parle à la conscience humaine et répond aux besoins humains. La salle de lecture n’est pas un endroit pour Absalom !
Le Christ, la Vérité, détruit tout ce qui pourrait masquer la vitalité de l’Eglise et la joie qu’elle procure.
Le rôle de bibliothécaire est d’indiquer le chemin vers le Christ, la Vérité, le chemin qui mène à la guérison. Heureusement, ce travail ne se fait pas seul. Il s’appuie sur la Parole de Dieu.
La découverte de Mary Baker Eddy était révolutionnaire car elle présentait une vision radicalement différente de la matière : celle-ci était la formation subjective de la conscience humaine.