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Sachant que je suis toujours sous la protection de Dieu, l’Amour divin, j’ai aussitôt contesté mentalement cette maladie dont l’image s’imposait.

Je savais que j’avais un droit divin à la santé et à la liberté, alors j’ai décidé de refuser avec force le mensonge qui affirmait que je pouvais être malade.

Seule une légère touche d’inspiration divine est nécessaire pour repositionner la conscience souple de celui qui aime Dieu de tout son cœur. Alors, nous pouvons nous ancrer avec bonheur sur le roc, sur ce que Dieu nous a donné avec amour.

J’ai compris que la chose importante dans la pratique de la Science Chrétienne est d’entrer en résonance seulement avec l’unique Entendement divin, Dieu, et non de vibrer involontairement selon un prétendu modèle mortel composé de nombreux esprits, volontés et opinions humains.

En substance, le raisonnement spirituel commence par Dieu, le bien, et témoigne de la démonstration de la Vie, de la Vérité et de l’Amour divins.

J’ai réalisé plus tard que les idées au sujet du gouvernement spirituel de Dieu, englobant toutes choses, qui avaient inspiré mes prières concernant les feux de forêt, étaient également valables pour la montre que j’avais perdue.

Je suis sûre que chaque manifestation de haine nourrit sa propre histoire pour se justifier, mais en réalité elle n’en a aucune.

La loi divine est puissante, infaillible et irréversible. A chaque instant, nous pouvons faire confiance à l’Eternel Dieu, sous l’autorité duquel se trouve tout ce qui existe, et qui prend toujours tendrement soin de Ses enfants bien-aimés.

Mary Baker Eddy a prévu la continuité de son enseignement en instituant le Conseil d’Instruction. L’article XXIX, section 2, du Manuel de l’Eglise, stipule : « Les élèves de scientistes chrétiens loyaux qui le désirent peuvent adresser une demande au Conseil d’instruction pour suivre l’enseignement ; et s’ils ont pratiqué la guérison par la Science Chrétienne avec succès pendant trois ans et fournissent la justification qu’ils remplissent les conditions nécessaires, ils peuvent être admis dans la classe Normale.

J’ai su tout de suite que ces policiers, étant spirituels, ne pouvaient rien faire d’autre que ce que Dieu, l’Esprit, leur commandait de faire.