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Face aux problèmes, nous pouvons être sûrs que notre travail ne consiste pas à rendre bon l’univers, mais à reconnaître que le bien établi et maintenu par Dieu est déjà présent.

J’ai mentalement fait face au mensonge qui prétendait que je ne pouvais pas me lever.

Un jour, un homme demande à son père sa part d’héritage. Son père la lui donne, et il part dans un pays lointain, où il dilapide tout.

Je savais que non seulement j’étais guérie, mais que ma famille pouvait aussi être libre et bénie par la vérité concernant notre sécurité symbolisée par ce beau récit biblique.

La journée s’est bien déroulée. J’ai ressenti le soutien de Dieu et chaque instant a été harmonieux. C’était vraiment la journée que Dieu a faite.

A mesure que notre compréhension spirituelle croît, le temps nous domine moins et le bien apparaît dans notre vie de manière de plus en plus opportune.

Il y a une chose que j’ai apprise lors de cette expérience, c’est qu’il n’y a jamais de moment où je ne peux pas prier ou vivre ce que j’apprends sur Dieu.

En se tournant vers Dieu, on acquiert une compréhension de l’Amour divin omniprésent. On se met alors à penser et à agir avec une compassion et une affection pure envers soi-même et les autres.

Dieu est l’unique Père-Mère, infiniment bon, qui a conféré à chacun son existence par Son amour. Réaliser que Dieu a créé chaque personne pour qu’elle puisse s’épanouir neutralise le découragement et le désespoir persistants face aux défis mondiaux, nationaux et locaux.

J’ai considéré une crise cardiaque comme une fausse croyance mortelle et je l’ai rejetée comme une illusion sur laquelle j’avais une domination totale qui m’était conférée par Dieu. Cela a été la fin du problème.