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Toute la famille semblait avoir la grippe, mais un moment de révélation a permis que tous se sentent bien-portants et joyeux.

« Ni le mépris des droits de l’homme, ni l’injustice d’origine raciale ou autre ne peuvent arrêter l’amour que Dieu, l’Amour divin, épanche librement vers Son enfant, c’est-à-dire chacun de nous. »

Chaque fois que l’on ressent un symptôme effrayant, nous sommes tentés de lui associer une cause physique, ou de le diagnostiquer. L’auteur a choisi à l’inverse de dénier aux symptômes physiques toute cause ou réalité, n’acceptant que les vérités spirituelles, jusqu’à ce qu’il soit guéri.

« Comment Dieu a-t-Il pu être présent à ce moment-là ? Pourquoi ne m’a-t-Il pas protégée ? » Ce ne sont là que quelques-unes des questions difficiles auxquelles l’auteure a eu à répondre, en s’appuyant sur l’inspiration contenue dans la Bible et les écrits de Mary Baker Eddy.

L’humilité conférée par Dieu nous permet de contribuer, de différentes manières, à la résolution d’un problème. Les pensées-anges désintéressées, auxquelles les enfants de Dieu sont naturellement réceptifs, nous conduisent à agir de façon aimante et juste envers tous.

Il est important d’être un citoyen respectueux des lois. Mais la véritable harmonie résulte de notre obéissance à une loi plus élevée, la loi de Dieu, et de notre engagement à voir tous les enfants de Dieu tels qu’Il les voit.

Lorsque l’auteure a réalisé qu’elle n’avait pas d’argent pour le trajet de retour en bus, elle n’a pas paniqué. Elle s’en est remise à la direction divine.

Servir d’abord l’Amour divin, plutôt qu’une opinion personnelle ou un dirigeant politique, illumine un chemin de paix au cœur d’une atmosphère politique polarisée. S’en remettre à l’amour du Christ nous libère de la peur et du dédain.

Parfois, prendre une décision peut sembler accablant, voire angoissant. Mais, alors qu’elle devait décider où vivre et travailler, cette femme a réalisé que le désir d’être guidée par Dieu, notre divin Père aimant, lui a conféré de la paix et de la clarté.

Les maux d’estomac de l’auteure ne correspondaient pas aux faits spirituels qu’elle avait appris à l’école du dimanche. Les vérités spirituelles, telles que « Dieu est Tout-en-tout », ne laissent aucune place à la douleur ni à la mauvaise humeur.