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L’auteur a appris que, même au milieu d’une période difficile de sa vie, il pouvait être joyeux. En tant qu’attribut d’un Dieu toujours présent, la joie peut être ressentie et partagée à tout moment.

Avec l’Entendement divin omniscient de notre côté, nous pouvons nous attendre à trouver des solutions à nos problèmes actuels.

A moins d’accomplir de meilleures guérisons et de se consacrer à ce travail plus qu’à tout autre, notre Cause ne pourra résister et « tenir ferme après avoir tout surmonté ». La démonstration est le tout de la Science Chrétienne ; rien d'autre n’en prouve la véracité, rien d'autre ne la sauvera ni ne la maintiendra parmi nous.

Au fur et à mesure que l’auteure a reconnu que son innocence et son unité avec Dieu, ainsi que celles de sa mère décédée, étaient réelles, le ressentiment, le chagrin et la culpabilité se sont dissipés.

Les commandements ne sont pas simplement des règles nous indiquant ce qu’il ne faut pas faire. Ils nous disent également ce que nous devons faire pour trouver la liberté, la santé et la joie véritables.

Alors que la sympathie et le souci de l’autre s’expriment le plus souvent en apportant du réconfort à ceux qui ont récemment perdu un être cher, l’auteure a trouvé la force de surmonté le chagrin grâce à la conviction que tout est bien.

Même après le décès d’une épouse, Dieu n’abandonne personne. A l’inverse, nous sommes « tous un avec Dieu », et nous ne pouvons éviter d’aimer notre vie lorsque nous réalisons que cette vie est en Dieu.

Qu’il s’agisse de membres du corps médical ou de parents confrontés à des exigences conflictuelles à la maison, de nombreux aidants peuvent se sentir dépassés en ce moment. Mais, dès maintenant, notre unité avec l’Amour est plus que suffisante pour répondre à tous les besoins.

Dans la loi suprême de l’amour de Dieu, il n’y a pas loi soutenant la maladie ou la contagion. En s’appuyant sur cette loi suprême, l’auteure a exprimé de l’amour envers sa nièce, qui était apparemment atteinte de la grippe, sans crainte des conséquences.

L’auteure a réalisé que, quels que soient les agissements de sa sœur, elle pouvait choisir de répondre avec amour.