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Tandis qu’on célèbre l’Armistice dans plusieurs pays, notre attention est attirée par l’expérience d’un homme qui a connu la Science Chrétienne quand il était prisonnier de guerre, par sa volonté de la raconter et par ses effets qui se poursuivent un siècle plus tard.

Demander de l’aide à Dieu, c’est plus efficace quand on reconnaît tout le bien qu’Il a déjà accompli, et que l’on s’efforce sincèrement de mieux Le comprendre.

La crainte et la colère semblent justifiées face à la violence, mais ce sont des réponses matérielles à une vision matérielle des événements. Comme Jacob, nous pouvons lutter contre de telles tendances jusqu’à ce qu’à leur place, nous ressentions la paix qui vient de Dieu.

Lorsque l’opportunité lui a été offerte d’aller dans un internat en Amérique, cet adolescent était enthousiaste. Mais l’inquiétude l’a ensuite saisi : et s’il avait le mal du pays ?

Il peut être tentant de réagir avec crainte ou colère devant un danger ou lorsque nous voyons les autres traités avec mépris. Mais lorsque nous comprenons le fondement divin de l’harmonie toujours présente, enseigné par Jésus et démontré par Paul, nous pouvons guérir ces situations.

Chaque année, au moment de la Toussaint, les pensées de nombreuses personnes se tournent vers leurs parents et leurs proches décédés. En comprenant que Dieu a donné à l’homme la vie éternelle, nous pouvons apporter du réconfort à ceux qui pleurent, et le trouver pour nous-mêmes si nécessaire.

Une confiance inébranlable en Dieu produit les meilleurs résultats.

Nous pouvons tous contribuer à rendre la politique, et la vie en général, plus respectueuse et plus productive.

Quoi qu’il arrive, Dieu est toujours présent et nous protège.

Lorsque l’amie de John a fermé la portière de la voiture sur la main de celui-ci, sa maman a su ce qu’il fallait faire.