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Lorsque l’auteure s’est réveillée un matin avec une douleur à la nuque, elle a décidé de faire avec, car sa journée était très chargée. Mais ça n’a pas résolu le problème. Elle a donc fait une pause pour prier. Et le problème a été résolu.

Dieu aime chacun de nous individuellement et spécifiquement, et Son amour se reflète naturellement dans des relations adaptées à nos besoins individuels.

Les restrictions qui ont pour objet de servir le bien commun doivent être respectées. Cependant, une vie définie par des restrictions ne peut être ni productive ni épanouissante. Alors, comment faire en sorte que ces restrictions ne soient plus nécessaires ?

Plutôt que de répliquer par un comportement agressif, l’auteure et ses amies ont prié, et elles ont répondu par l’amour, tel que Jésus l’enseigna.

La résurrection de Jésus a transformé la vie de Pierre et de ses autres disciples. Les disciples d’aujourd’hui peuvent aussi faire la même expérience.

Esther était peut-être trop jeune pour aller à l’école, mais elle n’était pas trop jeune pour être reconnaissante des belles pensées que Dieu donne à chacun de nous.

Rien ne peut réduire au silence le message de guérison du Christ toujours présent !

La guérison de l’épilepsie n’a pas consisté à refuser de succomber lorsqu’une crise se produisait, mais à s’en remettre à la présence éternelle de l’Entendement divin.

Une semaine avant la date à laquelle son mémoire devait être rendu, l’auteure a appris qu’il n’était pas conforme. Après beaucoup de prière et de travail, elle l’a refait entièrement et l’a rendu à l’heure. On lui a dit que c’était le meilleur mémoire qui avait jamais été rédigé.

Surmonter le ressentiment que l’auteure éprouvait pour sa responsable lui a conféré un sens de paix et de joie… et l’a guérie de la grippe.